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#1401 04/04/2020 08h09

Membre (2017)
Réputation :   7  

Geoges a écrit :

SI le cours a été divisé par 4 et que certains ont vendus, on peut aussi penser que d’autres ont trouvé intéressant d’acheter à un cours divisé par 4… bref.

Bonjour Geoges,

En effet, pour ma part c’est un gros pari avec 5% de mes actifs placés dans la valeur (cours de 50 euros).

Mon raisonnement (je suis sans doute moins bon dans l’analyse que tous les commentateurs de ce fil) : 
c’est une entreprise avec un historique, une valorisation, le commerce et le e commerce ne sont pas opposé mais complémentaire, la boite est tellement grosse qu’il est difficile de la voir couler (too big to fail), la situation financière me rassure, l’action des gouvernements me rassurent. Elements deja donnés avec des liens factuels dans les 2 dernières pages.

En visant long terme, mon "investissement" serait remboursé en 7 à 9 avec des dividendes calculés à 80% du dernier servi, mettons 8 euros x 7 ans -> 56 euros de dividendes, mon pari est remboursé. Et si l’action tombe à 10 euros,  j’en reprendrai sans doute.

Quand je vois la sous valorisation de la part par rapport à la valeur de la société, c’est aussi rassurant.

Je précise que cet investissement n’était absolument pas prévu de mon coté.


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#1402 04/04/2020 08h58

Membre (2018)
Réputation :   12  

Sauf que quand vous dites un dividende à 80% du dernier, ils ont annoncés qu’il était divisé par deux cette année, soit 5,40€ par action, et rien nous dit qu’il va être complété dans l’année…

Alors même si même si je suis d’accord avec vous sur le fait que c’est une opportunité (j’ai d’ailleurs renforcé hier ) attention à vos calculs qui sont faux et pourraient vous donner de faux espoirs de gains en terme de temps.

Déontologie : je détiens une position acheteuse/vendeuse sur une ou plusieurs société(s) listée(s) dans ce message.

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#1403 04/04/2020 09h14

Membre (2011)
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Shackleton a écrit :

la boite est tellement grosse qu’il est difficile de la voir couler (too big to fail), la situation financière me rassure, l’action des gouvernements me rassurent. Elements deja donnés avec des liens factuels dans les 2 dernières pages.

Cette boîte n’a rien d’un too Big too fail.

La situation financière est rassurante mais le risque majeur à horizon 2 ans c’est une augmentation de capital et là le dividende pourrait être divisé par 2 ou 3 par la dilution.

Et le gouvernement ne bougera pas un petit doigt pour le gros financier qui ne représente pas tant d’emplois que ça.

Il va soutenir les commerçants par contre mais il va y avoir de la casse et la France ne représente qu’une petite partie des actifs URW..

Déontologie : je détiens une position acheteuse/vendeuse sur une ou plusieurs société(s) listée(s) dans ce message.


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#1404 04/04/2020 09h14

Membre (2017)
Réputation :   7  

En effet granx, d’ou mon "7 à 9" ans, qui précise que je vise le long terme. J’essayais de rassurer en précisant que oui il y a des gens qui s’intéressent à cette action quitte à sortir un peu de leur ligne de conduite et qui voient les choses comme une opportunité (long terme).


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[+2]    #1405 04/04/2020 09h56

Membre (2014)
Réputation :   187  

simouss a écrit :

La situation financière est rassurante mais le risque majeur à horizon 2 ans c’est une augmentation de capital et là le dividende pourrait être divisé par 2 ou 3 par la dilution.

La bonne question est donc de savoir à partir de quand la société devrait procéder à une augmentation de capital ?
Je pense que nous pourrions arriver à cette hypothèse dans le cas ou son LTV passe la barre des 50% (les convenants bancaires parlent d’un LTV max de 60%).
Son patrimoine net fin 2019 : 62,762 Mrd€
Son endettement net fin 2019 : 24,239 Mrd€
=> LTV : 38,6%

Pour arriver à un LTV > 50%, il faut donc que son patrimoine soit dévalué d’environ 25%.
Je ne suis absolument pas suffisamment connaisseur pour savoir si une telle dévaluation serait possible. J’aurai tendance à penser que cela doit être justifié par une baisse structurelle du même ordre de grandeur de ses loyers… Très difficile à évaluer…

En complément, une année de dividende représente environ 1,5 Mrd€ d’économie. L’arrêt de tout dividende pendant un temps pourrait donc compenser une baisse d’environ 2,5% du patrimoine / an… Bref, c’est pas la coupe du dividende qui va sauver une augmentation de capital mais bien la valorisation de ce capital sur les prochains mois / prochaines années qui sera déterminant.

Déontologie : je détiens une position acheteuse/vendeuse sur une ou plusieurs société(s) listée(s) dans ce message.

Dernière modification par Tanuky (04/04/2020 10h10)

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[+1 / -2]    #1406 04/04/2020 18h57

Membre (2011)
Réputation :   48  

Si je prolonge dans la même idée :

- ANR triple net EPRA au 31/12/2019 : 199,20€ (source : Document d’enregistrement universel 2019, 4.1.4, page 234)

Donc dans cette hypothèse pessimiste d’une baisse de valeur du patrimoine de 25%, l’ANR serait donc grosso-modo à 150€.

C’est encore 3 fois le cours de bourse actuel (45,22€ pour le moment).

Une baisse de valeur de 50% de l’ANR l’amènerait encore à 2 fois le cours actuel.

Il n’y a pas de secret, pour que le marché reprenne confiance en URW, il faudra qu’elle démontre sa capacité à résister en temps de crise (donc à savoir garder ses locataires, savoir faire revenir les acheteurs dans ses centres, savoir attirer de nouvelles enseignes pour remplacer celles qui partiront ou qui mettront la clé sous la porte), et sa capacité aussi à savoir rebondir (si possible sans AK, qui n’est de toute façon pas d’actualité).

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#1407 04/04/2020 19h01

Membre (2020)
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Avez-vous vu que Christophe Cuvillier, président du directoire d’URW, a nanti 4574 actions à des prix de revient largement supérieurs au cours actuel ? Voici un lien vers la déclaration à l’Autorité des Marchés Financiers.

Etant néophyte avec ce genre d’opérations, je ne sais interpréter un nantissement. Savez-vous ce ce que cela signifie ? Et comment interpréter cette opération du top management dans le contexte actuel ?

Par ailleurs, je conseille aux anglophones cette analyse d’URW sur le site Seeking Alpha, qui modélise un scénario noir pour URW et son impact sur la valeur des actifs nets de l’entreprise.

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#1408 04/04/2020 19h09

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La conclusion de l’article est positive :

I simply think that on the scenario I have outlined, a 12% yield growing potentially to 22% with an NAV that is almost 4 times current share price and a super-stressed-NAV that would be more than two times the current share price is good enough proposition for me to step in.


Dif tor heh smusma

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#1409 04/04/2020 19h26

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Mini recherche Google, et vous trouverez une définition du nantissement ici.


Donne un cheval à celui qui dit la vérité, il en aura besoin pour s'enfuir.

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[+4]    #1410 04/04/2020 19h27

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philippe77 a écrit :

Si je prolonge dans la même idée :

- ANR triple net EPRA au 31/12/2019 : 199,20€ (source : Document d’enregistrement universel 2019, 4.1.4, page 234)

Donc dans cette hypothèse pessimiste d’une baisse de valeur du patrimoine de 25%, l’ANR serait donc grosso-modo à 150€.

C’est encore 3 fois le cours de bourse actuel (45,22€ pour le moment).

Une baisse de valeur de 50% de l’ANR l’amènerait encore à 2 fois le cours actuel.

Non, vos conclusions sont erronés, parce que votre raisonnement (simpliste) l’est, et que vous semblez avoir voulu raisonner en ne lisant qu’une ligne du document que vous citez.

Les 199.20€/action d’EPRA triple net à fin 2019 représentent 27.6 Mds€ (car il y avait 138 378 605 actions, cf p415 du même doc).
Le patrimoine total d’URW s’élevait à 65.3 Mdds€ (source : p 234 du même doc), soit 471.89€/action.

Donc, avec ces chiffres, dans l’hypothèse d’une baisse de valeur du patrimoine de 25%, l’ANR [*] baisserait de 118€, et avoisinerait 81€. Une baisse de valeur de 50% du patrimoine amènerait l’ANR en dessous de zéro (les dettes seraient supérieures à la valeur du patrimoine).
Note : Même avec un ANR négatif, URW pourrait continuer à générer des flux de cashflow positif, et pourrait même aussi être en mesure de respecter ses échéances (la dette n’est pas exigible demain… quoique il faut regarder les convenants et ce qui se passeraient s’ils n’étaient un jour pas respectés).

Sans vouloir virer au pessimisme (rien n’indique que la valeur du patrimoine va perdre 50%…), j’espère au moins que ces quelques chiffres vous remettront les pieds sur terre. (Hé oui, quand on a une grosse dette, si la valeur des actifs financés à l’aide de cette dette baisse beaucoup, ça peut faire très mal !)

[*] OK, ce n’est pas ici exactement l’ANR "triple net", mais l’impact sur l’ANR triple net devrait être du même ordre de grandeur, et le raisonnement de Philippe77 reste bancal (confusion ANR et parimoine, oubliant les dettes et tout le reste).


J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)

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[+2]    #1411 04/04/2020 19h34

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Quelques chiffres simples au 31/12/2019 :

Patrimoine brut en valeur de marché : 65 341 M
Loyer nets : 2491M
Dette nette : 26 440M
Nb d’actions : 138,4M

J’en déduis un taux de capi de : 3,81% (assez faible, les actifs doivent être de qualité ….)

Je fais une sensibilité très simple :
Loyer -10%
Taux de capi +100 bp

Ca donne une valeur Brute de marché de 46 609M

Une valeur des actions de 20 170M, soit 145 euros par titre

Avec -20% sur le loyers et un taux de capitalisation de 5%, on est à 100 balles

Chacun pourra conclure

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#1412 05/04/2020 00h21

Membre (2015)
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Bonjour,

Tssm a écrit :

Je fais une sensibilité très simple :
Loyer -10%
Taux de capi +100 bp

Si je reprends vos hypothèses d’entrée, elles correspondent à une baisse de 10% les loyers nets et une perte de 29% de la valeur du patrimoine. J’ai du mal à comprendre ce que l’on peut en conclure, mais peut-être ai-je mal compris ?

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#1413 05/04/2020 03h08

Membre (2012)
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On conclu que dans ces hypothèses, il semble y avoir de la valeur.
Le marché price donc quelque chose de pire.

A vous de voir si vous croyez qu’il a raison ou non.

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#1414 05/04/2020 08h39

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Nothy92 a écrit :

Bonjour,

Tssm a écrit :

Je fais une sensibilité très simple :
Loyer -10%
Taux de capi +100 bp

Si je reprends vos hypothèses d’entrée, elles correspondent à une baisse de 10% les loyers nets et une perte de 29% de la valeur du patrimoine. J’ai du mal à comprendre ce que l’on peut en conclure, mais peut-être ai-je mal compris ?

Relisez les analyses précédentes.
En cas de baisse de 29% du patrimoine, nous risquons notamment une augmentation de capital massive et très dilutive.
Exemple, si la société souhaite réduire son endettement de 10% (pour limiter son LTV), elle va devoir lever >2,5Mrd€. Au cours actuels, la capitalisation étant de 6,33 Mrd€, cette levée représenterait une dilution d’environ 30% ! Je vous laisse imaginez si la société a besoin de réduire son endettement de par exemple 20% et, qu’entre temps, la capitalisation à encore baissée à <5 Mrds -> vous avez une dilution > 2 !

Au vu du niveau Premium de cette foncière, je ne pense pas que nous en arrivions là.. Cependant, il est important de bien comprendre les risques et les raisons pour lesquelles nous avons vu d’autres foncières se faire "rincer" en quelques mois… (Intu, etc.)

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Dernière modification par Tanuky (05/04/2020 08h44)

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#1415 05/04/2020 10h31

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Bonjour,

Nouveau actionnaire d’URW avec un PRU sur les 50€, je lis avec attention les différents échanges, et même si je comprends bien l’effet ciseau qu’aurait la baisse de valorisation du patrimoine sur le LTV et la nécessité de procéder à une augmentation de capital pour respecter les covenants, j’ai du mal à comprendre le cours de bourse actuel.
J’ai essayé de simuler un scénario noir pour comprendre quel impact sur le dividende futur.

Hypothèse :
Valorisation brut : -40%
Baisse loyer net : -20%

Données prises sur le doc de ref 2019 (en million €):
-    Valo brut (V) = 65 341
-    Loyer net (L) = 2491
-    Résultat Net récurent = 1760
-    Dette NET = 24 929

Avec -40% de valorisation, cella amènerait le LTV à 64%.
Cela serait donc la limite fixée par les covenants (90% de la dette autorise LTV <65% (p258))
Pas d’autre choix de faire une augmentation de capital. Pour ramener le LTV sur les 45% (hypothèse), il faut lever 7 288M€.

Imaginons (pour rester dans le pire scenario) que le cours va descendre sur les 35€, cela fera 242M d’actions supplémentaires, pour un total de 380 M d’actions.

Le résultat net récurrent, baisserait lui aussi suite à la baisse des loyers (sans prendre en compte un cout de la dette diminué par le remboursement de l’augmentation de capital) ; avec -20%, on aurait un EPRA de (1408/380) =3.7€/ action
Avec une distribution de dividende de 65%, cela fait environ 2.4€/ action de dividende.

En conclusion, même avec ce scénario catastrophique, avec un dernier cours de 45€, ça laisse encore 5.3% de rendement.
Cela m’amène à penser que le risque pris pour rentrer aujourd’hui est assez faible, mais j’ai peut-être fait des erreurs de raisonnement, si c’est le cas, n’hésitez pas à me corriger. Ou le scénario est encore trop optimiste…

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#1416 05/04/2020 10h33

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Bonjour,
en investissant sur unibail je ne connaissais pas tous ces éléments. J’étais plus focalisé sur les loyers et charges…
Le cours de l’action devrait reprendre "un peu" de couleur d’ici deux trois mois et augmenter la capitalisation pour diminuer l’impact en cas de dilution.
La valeur du patrimoine est évalué à quelle période? En effet le côté premium d’une grande partie du patrimoine devrait permettre de limiter la décôte.
De toute façon la réponse sera à la fin de cette période de crise sanitaire…

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#1417 05/04/2020 10h50

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Tanuky a écrit :

Je pense que nous pourrions arriver à cette hypothèse dans le cas ou son LTV passe la barre des 50% (les convenants bancaires parlent d’un LTV max de 60%).
Son patrimoine net fin 2019 : 62,762 Mrd€
Son endettement net fin 2019 : 24,239 Mrd€
=> LTV : 38,6%

Franchement, il est la le problème des foncières .
La crise va s’auto-renforcer en partie à cause de ces convenants bancaires et des ratios et de l’évaluation obligatoire du patrimoine de ces sociétés.

La seule façon d’éviter cela c’est que le grain de sable dans les rouages ne soit pas assez gros pour enclencher un auto-renforcement négatif. Le problème c’est que le grain de sable est de taille …

On peut penser que le ratio de Unibail est important mais le problème c’est qu’il faut aussi prendre en compte le ratio des entreprises similaires à Unibail car c’est les plus mauvaises entreprises qui vont devoir les premières vendre leurs biens en même temps sur le marché pour respecter ces satanés convenants bancaires… Malheureusement la valeur du patrimoine de Unibail va se mettre à fondre à chaque évaluation obligatoire de celui-ci dégradant à chaque fois un peu plus les ratios et refroidissant en mêmes temps les organismes de notation et les prêteurs  .
Tout le marché est imbriqué les mauvais élèves vont entrainer les meilleurs dans leurs chutes .

Pour limiter la casse faut injecter du capital rapidement, le souci c’est que ça arrive souvent quand cela devient inévitable et à ce moment là les flux sont ridicules comme le cours des actions en question.

Ce qui est intéressant à voir c’est que ces dernières années le processus d’auto-renforcement était positif bien que moins rapide et plus progressif.

Les prêts aux foncières augmentaient à chaque fois que les prix montaient car ces prix inflatés amélioraient les ratios et les bénéfices lors des ventes ce qui attirait toujours un peu plus les investisseurs . Quelle cercle vertueux . Sans compter sur le soutient de nos banques centrales pour baisser au maximum les taux .

Maintenant il ne faut plus compter sur les banques centrales pour amortir car malheureusement au niveau des taux elles ont fait leur maximum. Même si les taux sont à 0 elle influencent moins facilement la marge d’intérêt des prêteurs qui risque d’augmenter pour les sociétés, les secteurs, les pays à problème .

Néanmoins je pense que Unibail est l’une des foncières les plus solides et il faudrait un scénario extrêmement pessimiste pour qu’elle fasse faillite. Il faut aussi que le retournement de tendance se confirme pendant de longues années pour que les investisseurs ne si retrouve pas au cours actuel ..

Dernière modification par vbvaleur (05/04/2020 12h03)

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[+1]    #1418 05/04/2020 13h59

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Sur l’histoire des covenants de la dette qui provoqueraient nécessairement une augmentation de capital, n’oublions pas que la majorité des cas de violations des covenants de dette bancaire se termine par un waiver, qui en pratique engendre des fees et une hausse du taux d’intérêts mais pas plus : les banques n’envoient en général pas leur partenaire au tapis, surtout quand c’est un grand groupe.

Je dis pas que tout est rose non plus, mais c’est pour tempérer.

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Dernière modification par julien (05/04/2020 14h00)

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[+1]    #1419 05/04/2020 14h32

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Le Conseil d’Administration voudrait avoir le droit d’émettre de nouvelles actions sans droit préférentiel de souscriptions

Je ne me prononce pas sur le conseil d’Investir en tant que tel…

lien investir

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Dernière modification par Alex25803559 (05/04/2020 14h32)

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#1420 05/04/2020 16h02

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@Tanuky : Vous prêchez un convaincu lorsque vous rappelez qu’une augmentation de capital avec un niveau de cours ainsi déprécié serait catastrophique, mais je me suis mal exprimé, je m’interrogeais plutôt sur le bien-fondé des hypothèses de départ.

Il semble improbable que la valeur de patrimoine s’effondre ainsi 2 ou 4 fois plus vite que les revenus des loyers, n’est-ce pas plutôt une éventuelle baisse durable des loyers, si elle devait se produire (ce n’est pas la tendance observée pour Unibail) qui devrait effectivement entraîner une dépréciation du patrimoine ?
Le nerf de la guerre (avec la dette), c’est quand même le niveau des loyers, et quand bien même le patrimoine devrait baisser fortement de façon très décorrélée, êtes-vous bien certain que les limites habituelles imposées par les covenants s’appliqueraient basiquement sans aucune considération vis à vis des flux réels de trésorerie ?
Si vous pensez qu’une baisse durable des loyers de 20% ou 30% (donc hors pertes liées aux loyers non perçus pendant la période de fermeture liée au confinement) est quelque chose de plausible, alors oui, il y a matière à s’inquiéter, mais cela ne semble pas être le cas dans la façon les différents intervenants formulent leurs hypothèses ici.

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[+7]    #1421 06/04/2020 08h53

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Je ne sais pas si ma contribution sera appréciée, car elle ne vise pas à exposer des chiffres qui pourraient factuellement expliquer pourquoi il faut acheter ou ne pas acheter l’action URW, et se limite à ma connaissance passée d’une implantation:
Il s’agit de carré sénart. Désolé pour le caractère parcellaire de cet exposé.
J’ai vécu pendant 4.5 ans à proximité de ce centre commercial, et je viens de me rendre compte qu’il appartient à URW. J’ai quiité la région fin 2016… en pleins travaux du centre.

Sur les points positifs
communs à tous les centres commerciaux : c’est anecdotique mais ça le sera de moins en moins, ils proposent une ambiance climatisée appréciable en été à l’inverse des commerces éparpillés où la rue ne l’est pas.

La fréquentation de carré sénart était très bonne, raison (en partie) pour laquelle ils se sont engagés dans des travaux monstrueux, notamment pour étendre la capacité du parking

Les gens venaient de tout le secteur étendu car le centre ne souffrait pas de mauvaises fréquentations : "bandes de jeunes " qui font peur , ce qui m’a été rapporté de la part de personnes qui venaient d’ evry.

à Boussy st antoine je ne sais pas si c’était le cas aussi mais clairement carré sénart faisait de l’ombre à son centre commercial.

Le centre est dans un secteur assez dynamique au niveau immobillier; beaucoup de nouvelles constructions et une zone tendue. Mon logement a été reloué dans la quinzaine.

Le centre bénéficie aussi de tous les autres implantations + ou - nouvelles de carré sénart : nouveau théâtre, école d’ingé (ICAM) , impots (;-)) , bureaux, golf, koezio

Et puis ma foi carré sénart, c’est en gros " le truc" qui existe au milieu des champs ( de l’ouest ;-))
Faut dire que la zone est une banlieue dortoir,:c’est l’attraction du coin (surtout avec son cinéma ).
Avant c’était une zone agricole de production de pommes et de blé.

A part ça j’y suis repassé 1.5 an après et j’ai pu noter la transformation, ils ont attiré de nouvelles enseignes par l’agrandissement du centre, et notamment les Galeries Lafayette, Uniqlo, et d’autres surement , auxquelles je n’ai pas fait attention.

Pour ce qui est du négatif.

Tout ce positionnement haut de gamme se fait ressentir sur les prix
D’abord au niveau  carrefour (carré sénart) qui se tirait  la bourre avec le auchan local avec des affiches dans les magasins de comparatifs de prix de caddies .
N’en déplaise à Carrefour, au moment où l’application Prixing (comparateur de prix opérés par les consommateurs) marchait correctement on notait quand même des prix supérieurs à carré sénart, et même même par rapport à d’autres magasins carrefour.

Dans le centre, il y avait une boutique qui vendait des accessoires de cuisines dont j’ai pu constater une nette différence de prix par rapport au même article vendu à auchan

Les restos sont bondés le week-end pas parce que la qualité de la nourriture est là, mais parce que le cadre est agréable, et qu’il y a trop de monde dans le secteur qui veut sortir sans aller à Paris.

Alors oui si on veut absolument s’acheter des bottes en plastique Aigle à 90€ la paire , on peut aller à carré sénart,  mais si on se contente de bottes à 13€ , on ira chez Leroy merlin.

Pour la même raison on ira à carré sénart parce qu’on veut acheter un produit Apple mais pas parce qu’on veut acheter un ordinateur.

Donc ce centre sera à mon avis efficient pour tout ce qui est exclusif. Là où on peut faire jouer la concurrence ce sera plus difficile.

Ce peut être une stratégies des marques pour exister avec la pleine représentativité de leurs produit.
Pour contredire ce que j’affirme 2 lignes plus haut , j’ai acheté une swatch à carré sénart pas parce je souhaitais acheter cette marque, mais parce que cette marque proposait un modèle qui me plaisait.
J’ai pu constater par la suite que ce modèle n’était pas disponible dans le bijoutier représentant de la marque dans la ville de province de 60.000 habitants dans laquelle je vis actuellement.

Voilà où se situe, selon mon expérience, l’ avantage du positionnement d’URW.

En espérant que mon témoignage puisse nourrir votre réflexion sur la perception de l’entreprise.

En ce qui me concerne , j’observe l’évolution du cours sans en avoir acheté… pour l’instant.

Mais je ne suis pas pressé, j’attends que le momentum soit positif.

Dernière modification par lamante (06/04/2020 08h58)

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[+3]    #1422 07/04/2020 15h09

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Un peu d’optimisme et de perspectives dans ce contexte difficile, avant d’avoir des informations fiables et chiffrées sur le Q1 le 29 avril après bourse.

Le Q2 devrait malheureusement être moins bon avec l’impact des mois d’avril et de mai.

La première chose est une analyse géographique du NRI retail

Les pays dans lesquels les commerces ouverts sont très minoritaires (76% du NRI):

- France (29% du NRI): certains grandes surfaces alimentaires (Auchan, Carrefour), les pharmacies et tabacs restent ouvertes dans les centres Westfield (notamment en consultant leurs sites web: 4 temps, Euralille)

- aux US (28% du NRI): à l’UTC (San Diego): les restaurants restent ouverts (à emporter), ainsi que les pharmacies, certaines agences bancaires (well fargo)

- Au UK (7% du NRI): au Westfield London quelques boutiques encore ouvertes: Mark & Spencer, Halifax (banque), WH Smith, Waitrose etc

- En Autriche (5% du NRI) : comme en France, alimentaire, pharmacie et tabacs cependant réouverture possible des surfaces < 400m2 mi-avril et les autres au 1ier mai.

- Espagne (7% du NRI)

Les pays dans lesquels les commerces ouverts sont très majoritaires (14% du NRI environ):

- En Suède (< 5% du NRI) : majorité des commerces ouverts (88% sur le centre Mall of Scandinavia)

- Europe Centrale (10% du NRI): Pologne, République Tchèque et Slovaquie

Il reste également vraisemblablement les loyers des quelques bureaux (103MEUR de NRI en 2019), je ne suis pas optimiste pour les 95MEUR de NRI des centres de convention.


La deuxième chose est qu’à terme, les locataires fragiles vont faire faillite


Ils étaient déjà en difficulté avant la crise, l’épidémie va précipiter leur chute et cela impactera évidemment le taux d’occupation à court terme, des magasins risquent même de ne pas ré-ouvrir tout court (ex: André).

J’ai tendance à penser qu’il ne sert à rien de vouloir ralentir l’inévitable.

On va donc vraisemblablement observer un changement de mix.

L’exemple de Mall of America est assez parlant, même si non comparable à URW.

D’un mix prévu à l’ouverture de 55% divertissement / 45% retail, la stratégie après Covid est de passer à 70% divertissement.

Déontologie : je détiens une position acheteuse/vendeuse sur une ou plusieurs société(s) listée(s) dans ce message.

Dernière modification par maxlille (07/04/2020 16h07)


Mon blog L'argent travaille pour moi et pas l'inverse

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#1423 07/04/2020 21h59

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vbvaleur a écrit :

Tanuky a écrit :

Je pense que nous pourrions arriver à cette hypothèse dans le cas ou son LTV passe la barre des 50% (les convenants bancaires parlent d’un LTV max de 60%).
Son patrimoine net fin 2019 : 62,762 Mrd€
Son endettement net fin 2019 : 24,239 Mrd€
=> LTV : 38,6%

Franchement, il est la le problème des foncières .
La crise va s’auto-renforcer en partie à cause de ces convenants bancaires et des ratios et de l’évaluation obligatoire du patrimoine de ces sociétés.

c’est la l’interet d’investir dans les leaders et les entreprises de meilleure qualité. Vu la taille de la dette d’Unibail, le probleme du défaut est tout autant celui des banques que celui d’Unibail et je pense qu’Unibail sera en mesure de renégocier ses covenants.

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#1424 07/04/2020 22h30

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Alex25803559 a écrit :

Le Conseil d’Administration voudrait avoir le droit d’émettre de nouvelles actions sans droit préférentiel de souscriptions

Je ne me prononce pas sur le conseil d’Investir en tant que tel…

lien investir

Je suis curieux que ce message n’ait fait réagir personne (biais de confirmation ?).

Je suis absolument consterné de la proposition faite, à savoir :

"Le conseil d’administration voudrait une délégation de pouvoirs pour avoir la faculté d’émettre des actions sans droit préférentiel de souscription avec une décote de 10% maximum. L’augmentation de capital pourrait en outre atteindre 8,7% et même 10% avec la clause d’extension."

Si le conseil juge opportun d’émettre des actions nouvelles avec une décote de 10%, on peut en extrapoler leur opinion sur la valeur réelle du titre. Je pense qu’il s’agit d’un avertissement très sérieux. La NAV serait-elle en réalité beaucoup plus basse que ce qu’on pense ? Cf. post de Tssm un peu plus haut.

Déontologie : je ne détiens pas de titres Unibail, je n’ai pas l’intention d’en acheter ni d’en vendre dans les prochaines 72 heures.

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[+1]    #1425 07/04/2020 22h46

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Je pense que personne n’a réagit, car il s’agit d’une non information, ou presque. Ces résolutions sont habituellement proposées pour bon nombre de sociétés. C’est vrai qu’ils auraient pu ajouter des indications de prix minimaux cette année, ou ajouter des restrictions dans leurs libertés d’agir, mais les possibilités d’augmentations du capital sont plus restrictives qu’en 2019. (Plan de performance)

Bonne lecture.

Avis publié au BALO le 27 Mars 2020 a écrit :

17. Autorisation consentie au Directoire à l’effet de réduire le capital par annulation d’actions achetées par la Société dans le cadre du dispositif de
l’article L. 225-209 du Code de commerce
18. Délégation de compétence consentie au Directoire à l’effet d’émettre des actions ordinaires et/ou des valeurs mobilières donnant accès immédiatement et/ou
à terme au capital de la Société ou de l’une de ses filiales avec maintien du droit préférentiel de souscription
19. Délégation de compétence consentie au Directoire à l’effet d’émettre des actions ordinaires et/ou des valeurs mobilières donnant accès immédiatement et/ou
à terme au capital de la Société ou de l’une de ses filiales avec suppression du droit préférentiel de souscription, par voie d’offre au public
20. Délégation de compétence consentie au Directoire à l’effet d’augmenter le nombre de titres à émettre en cas d’augmentation de capital avec ou sans droit
préférentiel de souscription en application des dix-huitième et dix-neuvième résolutions
21. Délégation de pouvoirs consentie au Directoire à l’effet d’émettre des actions ordinaires et/ou des valeurs mobilières donnant accès au capital avec
suppression du droit préférentiel de souscription, en vue de rémunérer des apports en nature consentis à la Société
22. Délégation de compétence consentie au Directoire à l’effet de procéder à une augmentation de capital par émission d’actions ordinaires et/ou de valeurs
mobilières donnant accès au capital de la Société réservées aux adhérents de Plans d’Épargne Entreprise, avec suppression du droit préférentiel de
souscription à leur profit, en application des articles L. 3332-18 et suivants du Code du travail

Avis publié au BALO le 29 Mars 2019 a écrit :

14. Autorisation à donner au Directoire de réduire le capital par annulation d’actions achetées par la Société dans le cadre
du dispositif de l’article L. 225-209 du Code de commerce
15. Délégation de compétence à donner au Directoire en vue d’émettre des actions ordinaires et/ou des valeurs mobilières
donnant accès immédiatement et/ou à terme au capital de la Société ou de l’une de ses filiales avec maintien du droit
préférentiel de souscription
16. Délégation de compétence à donner au Directoire en vue d’émettre des actions ordinaires et/ou des valeurs mobilières
donnant accès immédiatement et/ou à terme au capital de la Société ou de l’une de ses filiales avec suppression du
droit préférentiel de souscription, par voie d’offre au public
17. Délégation de compétence à donner au Directoire à l’effet d’augmenter le nombre de titres à émettre en cas
d’augmentation de capital avec ou sans droit préférentiel de souscription en application des quinzième et seizième
résolutions
18. Délégation de pouvoir à donner au Directoire en vue d’émettre des actions ordinaires et/ou des valeurs mobilières
donnant accès au capital avec suppression du droit préférentiel de souscription, en vue de rémunérer des apports en
nature consentis à la Société
19. Délégation de compétence à donner au Directoire en vue de procéder à une augmentation du capital par émission
d’actions ordinaires et/ou de valeurs mobilières donnant accès au capital de la Société réservées aux adhérents de
Plans d’Épargne d’Entreprise, avec suppression du droit préférentiel de souscription à leur profit, en application des
articles L. 3332-18 et suivants du Code du travail
Plans d’Options de Performance et d’Actions de Performance
20. Autorisation à donner au Directoire à l’effet de consentir des options d’achat et/ou de souscription d’actions de la
Société et/ou d’Actions Jumelées, avec suppression du droit préférentiel de souscription, au bénéfice de membres du
personnel salarié et de mandataires sociaux de la Société et de ses filiales
21. Autorisation à donner au Directoire à l’effet de procéder à des attributions d’Actions de Performance de la Société
et/ou des Actions Jumelées au bénéfice de membres du personnel salarié et de mandataires sociaux de la Société et/ou
de ses filiales

AMF : actionnaire.

Dernière modification par wulfram (07/04/2020 22h46)

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