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Favoris 7   [+5]    #1 07/06/2014 13h33

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Suite à différentes lectures, je me suis fait la réflexion qu’il y avait sans doute 3 phases pour un "investisseur heureux".

Pour les expliciter, j’ai utilisé les notions de "revenu de son travail", "besoins/charges pour financer son train de vie", et "revenu de son patrimoine".
Remarquons qu’une personne qui gère elle-même son patrimoine (que ce soit de l’immobilier, des actions, des obligations, ou autre chose) devrait répartir le revenu ainsi généré entre "revenu du patrimoine" et un peu de "revenu du travail" pour son travail de gestion.

phase 1 : dépendant des revenus de son travail
  C’est la situation de la grande majorité de la population (dont ceux sans patrimoine), quand :
      "revenu du patrimoine" < "besoins pour financer le train de vie"
  Il est possible d’épargner, et d’escompter atteindre la phase 2, si :
      "revenu du travail" + "revenu du patrimoine" > "besoins pour financer le train de vie"
      (pour y arriver, il faut soit augmenter les revenus, soit diminuer le train de vie)
  Il est aussi possible de voir son patrimoine diminuer si :
      "revenu du travail" + "revenu du patrimoine" < "besoins pour financer le train de vie"

phase 2 : financièrement indépendant (des revenus de son travail) 
  C’est la situation d’une minorité (qui a travaillé pour acquérir un patrimoine, ou hérité), quand :
      "revenu du patrimoine" >= "besoins pour financer le train de vie"
  En pratique, le revenu n’étant pas "garanti", mieux vaut avoir une certaine marge de sécurité, si on ne veut pas retourner à la phase 1.

phase 3 : le patrimoine grossit "tout seul" (indéfiniment)
  C’est la situation d’une plus faible minorité (qui a hérité plus ou/et travaillé), quand :
      "revenu du patrimoine" >> "besoins pour financer le train de vie"
  Dans cette situation, le patrimoine va croitre, potentiellement indéfiniment.
  C’est par exemple la situation d’une personne avec 10 M€ de patrimoine, investi de manière à rapporter passivement 5%/an net (en plus de l’inflation), avec un train de vie de 100 k€/an, soit 1% du patrimoine : son patrimoine croitra de 4%/an, et triplera en 28 ans (sur une génération…), et idem avec 5 M€ et 50k€/an.
  Si le patrimoine est dilapidé ou perdu, on retourne à une des autres phases.

On peut faire l’analogie avec la loi de la gravitation universelle, où le revenu du travail serait l’énergie pour éloigner un objet de la terre :
   phase1 : l’énergie est trop faible, l’objet retombe, et il faut continuer à lui insuffler de l’énergie pour qu’il vole;
   phase2 : à partir d’un certain niveau d’énergie, l’objet se maintient en orbite;
   phase3 : avec encore plus d’énergie, l’objet s’éloigne (indéfiniment ?) de la terre
                  (….mais n’en rencontrera pas moins d’autres "attractions" plus loin).

Mots-clés : gestion, patrimoine, phases


J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)

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[+1]    #2 07/06/2014 18h03

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Tout à fait.
Beaucoup s’imagine que le patrimoine va augmenter de lui même, sans faire beaucoup d’efforts. La facilité rejoint ici l’oisiveté.
Il suffit de regarder sur certains forums les calculs complexes d’intérêts composés que certains produisent pour valider ce fait.
L’argent ne travaille jamais tout seul. Il faut un peu l’aider….

Mafo

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[+1]    #3 07/06/2014 19h26

Membre (2014)
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mafo a écrit :

D’ailleurs, je suis toujours choqué de voir ici, sur ce forum, des gamins d’à peine 20 ans  exprimer leur souhait de devenir rentier, comme si cet état suffisait à atteindre le bonheur optimal. J’ai souvent envie de leur demander "pour quoi faire?". Sans doute pour être débarrassé d’un job qu’il n’aime pas.
Mais dans ce cas, le plus simple n’est il pas de changer de job?

Je pense qu’il y a plusieurs raisons:

- l’incertitude sur les retraites et le marché du travail sinistré, dans ce cas être rentier apporte de la sécurité et stabilité

- il est extrêmement difficile de changer de travail en France sans reprendre des études, même pour un créateur d’entreprise il y a pas mal de barrière à l’entré avec les diplômes (cf voir le site de l’apce), j’ai vue un américain qui avait fait 51 métiers différents pour une durée de 1 semaine chacun. Sa serait totalement impossible en France (j’ai essayer).

-Ensuite c’est à 20 ans qu’on peut prendre le plus de risque financier pour y arriver (on est seul et encore jeune) et c’est à cet age qu’on peut économiser le plus facilement je pense (pas d’enfant à charge, possibilité d’heure supplémentaire sans négliger sa famille puisque l’on en a pas, etc…).

-Après il y a aussi des personnes comme moi, qui souhait être à leur compte sur les marchés financier.

Sans oublier que si on pense devenir rentier à 20 ans il faudra au moins 10 ans pour le devenir.

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[+1]    #4 07/06/2014 19h59

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Etre indépendant financièrement cela peut être pour habiter au soleil, à la montagne, plus prêt de sa famille, pour faire de l’art, pour avoir le temps de visiter ses proches, pour contribuer à une cause, pour aider ses proches, pour quitter une grande ville, pour revenir dans sa région d’enfance, pour quitter un environnement stressant, pour prendre un boulot passion sans s’appauvrir etc, etc. ne pas réduire cette ambition en seulement une course à l’argent. Bon j’en suis loin.

Sinon il y a la phase 4. En fin de vie, toute la famille se déchire pour avoir sa part.

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[+1]    #5 07/06/2014 22h40

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En tant que gamin de 20 ans qui a exprimé son souhait de devenir rentier, je pense que je peux prendre part à ce débat.

Pour un mec qui n’aurait soi-disant rien branlé, j’ai pourtant l’impression d’en avoir assez chié. J’ai fait mes deux ans de prépa, à travailler du matin au soir, sans vacances, à stresser en permanence pour les khôlles/concours/oraux …
Puis je suis entré en école d’ingénieur, une réputée, et j’ai commencé à apercevoir la vie d’un ingénieur qui sort de l’école. Majoritairement, il bosse à Paris, loin de sa famille, de ses amis, fait des cadences infernales pour un boulot pas forcément intéressant.

Tout le monde n’a pas une passion depuis qu’il est tout jeune pour un métier précis. Moi j’aime les sciences physiques, l’économie et pas mal d’autres choses et j’ai fait des études d’ingénieur parce que c’était ce qui " rassemblait " le plus ce que j’aimais.
Mais voila, j’ai pas envie de travailler pendant 45-50 ans, peut être plus, j’ai envie de profiter de ma vie. Je ne crois pas à l’épanouissement par le travail, j’ai envie d’être libre de me lever le matin pour travailler ou non, pour voyager ou non, pour faire du sport ou non, pour aller voir mes proches ou non.

La solution c’est l’indépendance financière et c’est pour ça que je squatte ce forum. J’apprends énormément de chose et ça me plait.


Parrain : Binck, Linxea, ING, Boursorama

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[+1]    #6 08/06/2014 00h14

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Battez vous les gars.
faites en sorte que votre phase 1 (pour reprendre GBL) soit heureuse avant tout.
Préparez ensuite votre phase 2 et éventuellement la 3.
Mais n’attendez pas pour être heureux.
perdre 20 ans de bonheur pour une rente hypothétique, c’est du gâchis.

Mafo

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[+1]    #7 08/06/2014 01h08

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@ Roudoudou
je ne vois pas ce que la dette a à faire avec mon job.
J’ai connu la guerre du Golfe number 1 et la number 2.
La concurrence mondiale je la connais, j’enseigne dans une école internationale.
Quant au chômage, j’ai envoyé un CV en avril et j’ai un entretien la semaine prochaine.

Bref, bougez vous.

Mafo

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[+1]    #8 08/06/2014 05h41

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Je suis d’accord avec Mafo. Il ne s’agit pas d’en "chier" pendant 20 ans dans un boulot pourri et se serrer la ceinture pour un hypothétique bonheur futur de rentier ! Il faut profiter MAINTENANT, jouir de la vie MAINTENANT ! Tout en pouvant, bien sûr, être rentier dans 20 ou 25 ans, of course.

Personnellement j’ai préféré changer de job (quitte à perdre 12 000 euros annuels d’intéressement/participation DEFISCALISE !) pour en prendre un autre dans une ville qui me plait et avec des collègues avec qui je m’entends bien. Alors certes, ça retardera mon projet d’être rentier de plusieurs années, mais mon BONHEUR ACTUEL N’A PAS DE PRIX ! (pour le reste il y a Eurocard Mastercad …).

Donc effectivement, il est hyper important, si on n’est pas épanouit dans son job (il faut quand même attendre quelques années pour en être bien sûr), de se remettre en question, en faisant par exemple un bilan de compétences. Et ne pas se dire "allez, je vais avoir une vie de merde pendant 20 ans, mais après je serai rentier, youpi !".

Quand on a 25-30 ans, en sortie d’études, on ne fantasme pas à l’idée de devenir entier, on profite de la vie et on va draguer les filles smile

Dernière modification par Vibe (08/06/2014 05h44)

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[+1]    #9 08/06/2014 05h51

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Pour reprendre le très bon sujet initié par GBL après quelques règlement de compte incisif.

Il est certain que chaque génération a eu ses bonnes périodes et ses déboires dans un contexte social , mondial , économique plus ou moins difficile.

Le sujet est parti des phases pour devenir rentier à la notion du bonheur.

Je rejoins Mafo sur le bonheur , il faut aller le chercher , il faut le cultiver et l’entretenir.
Mafo , vous disposez visiblement d’une situation enviable en terme de temps disponible avec 600 H de travail peut être moins financièrement.

J’ai une sensation que l’on ne peux pas généraliser mais une impression de vieux ( j’ai encore un peu de temps )  que les nouvelles générations ne sont pas combatives , que les jeunes sont des difficultés à trouver du travail c’est un fait mais qu’ils ont été habitués à beaucoup de confort chez leur parents ( j’en fait parti) et qu’ils n’acceptent pas de renoncer à ce confort pour se lancer.

Il faut se lancer dans un super job immédiatement avec la voiture sans contrainte.

Je n’évoque pas la partie ludique sur ordinateur qui se prolonge souvent au delà du raisonnable en terme d’horaire et d’age ( c’est un vécu personnel actuel avec mon fils de 19 ans ).

Une sensation vis à vis des jeunes qu’ils ont moins le gout et l’envie de l’effort du fait d’un confort durant la jeunesse.

Je pense qu’il faut avoir dans la vie des objectifs même petit pour avancer , chacun les siens :
- Devenir un chef pour le salaire et le poste.
- Acheter sa maison
- Fonder une famille
- Acheter une voiture , une moto

Une fois que les objectifs matériels sont atteints , il me semble normal d’envisager des objectifs de temps libre et là chacun à les siens aussi :
- Mi temps
- Congé sabbatique
- Liberté totale ou partiel vis à vis salariat
- Créer une activité.

Nous avons monter avec ma femme un certain patrimoine  ,nos enfants ont vu cette constitution qui n’est pas encore terminé.
Nous avons eu beaucoup de mal pour les impliquer dans une aide de leur part, moi je suis prêt à les aider plus tard et c’est normal.

Mes parents n’ont pas monté un gros patrimoine mais quand ils avaient besoin de moi pour les aider dans quelques domaines j’y suis allé.

Question de caractère , de génération , de contexte  , d’éducation , surement beaucoup de paramètres.

Philippe


Localisation 74 Montagne , Randonnée , VTT

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[+2]    #10 08/06/2014 08h09

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La plupart des hommes mènent des existences de désespoir tranquille.

F. DOSTOIEVSKI


Celui qui ne dispose pas des deux tiers de sa journée pour lui-même est un esclave…   Friedrich Nietzsche.

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[+1]    #11 09/06/2014 11h44

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Le scénario de la crise qui fait peur aux francais :

phase 1 : vie active ( 20-55 ANS )
  on met de l’argent de coté, on travaille dur,
  "revenu du travail" > "besoins pour financer le train de vie"
 
phase 2 : 55 ans chomage
  Apres des tentative de retrouver du travail, de se mettre a son compte , on finit par se rabattre des petits boulots alimentaires
   "revenu du travail" =< "besoins pour financer le train de vie"


phase 3 : 65 ans retraite
   Trop abimé pour travailler,
   "revenu du capital" =  "train de vie qu’on est bien obligé de limiter"


“Les hommes font des plans … et les dieux se marrent” - Proverbes 19.21

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[+2]    #12 09/06/2014 12h06

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Jean-Marc a écrit :

Les gens qui rament ne l’ont pas choisi; certains ont manqué d’audace, la plupart n’ont pas les capacités.

Bonjour

cela pose une autre question à mon avis;
Notre système éducatif récompense-t il l’audace?

Dès le plus jeune âge, je pense qu’il y a formatage pour créer de bons petits soldats prêts pour le salariat à vie, agrémenté du livret A. On les enferme dans un système très cocooning et appauvrissant intellectuellement (perte du sens de la "découverte") dans lequel ils ont du mal à sortir une fois adultes.

C’est souvent lors d’une crise (chômage par exemple) que, coincés, ils découvrent que d’autres voies sont possibles.

Ce forum (et d’autres) fait partie de ces voies possibles.

@ Paranoide

L’allongement de la durée des études, ainsi que le chômage massif des jeunes, fait que la capacité d’épargne se trouve reportée dans le temps. D’après moi, la phase 1 ne démarre effectivement qu’après 25 ans , et encore pour les mieux lotis. Ajoutez à ceci le besoin de s’équiper (mobilier, automobile, etc..) et la phase 1 en est autant reportée.
nous assistons donc à une contraction de la phase d’épargne qui compromet la phase 2 de façon quasi irréversible.

Ok pour le chômage à 55 ans. la France est un des pays européens où le chômage des seniors est le plus élevé. Ce qui rétrécit encore la phase 1. Du moins à mon sens.

Mafo

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[+1]    #13 04/04/2021 15h25

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GoodbyLenine, le 07/06/2014 a écrit :

phase 2 : financièrement indépendant (des revenus de son travail) 
  C’est la situation d’une minorité (qui a travaillé pour acquérir un patrimoine, ou hérité), quand :
      "revenu du patrimoine" >= "besoins pour financer le train de vie"
  En pratique, le revenu n’étant pas "garanti", mieux vaut avoir une certaine marge de sécurité, si on ne veut pas retourner à la phase 1.

dangarcia a écrit :

En phase 2 vous vivez de votre capital (et des revenus qu’il génère, mais encore insuffisants pour couvrir vos dépenses)

D’après la définition de GBL la phase 2 permet financer le train de vie avec les revenus du capital. Je ne comprends donc pas le "insuffisants pour couvrir vos dépenses".

La phase 2 est celle où l’on se pose le plus de questions. Notamment sur la notion de "revenu du capital". Car si un investisseur immobilier, un fan de fonds euros ou un amateur de dividendes possèdent une certaine visibilité, le chasseur de plus-values boursières est dans un monde plus mouvant…

Les 2 principales solutions me semblent soit de "sécuriser" une partie de l’allocation de capital (mais le rendement sera certainement moindre), soit de d’augmenter la marge de sécurité. Et on en revient à la question de Stevanovic sur les montants. Qui ne me semble pas si faciles à fixer, même en multiples de train de vie. Ils vont dépendre de la façon dont le capital est investi mais aussi de beaucoup d’autres facteurs comme le besoin de sécurité. Comme aussi l’aspiration ou non à profiter d’une meilleure situation financière pour augmenter son train de vie. J’ai l’impression que ces sujets sont très personnels.

Donc, autant les principes édictés en 2014 par GBL sont toujours d’actualité, autant leur déclinaison pratique pour chacun d’entre nous est plus difficile. Je ne crois pas à une recette toute faite. La mise en pratique est donc plus difficile qu’il n’y paraît mais aussi plus intéressante.

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