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Sondage 

Résultat du sondage :

Quelle est la tendance à 5-10 ans de l'immobilier parisien ?


Hausse forte : 5-10% an

6% - 17
Hausse à hauteur de l'inflation

19% - 47
Stabilité des prix, mais perte "lente" avec l'inflation

27% - 67
Chute de 10-15%, puis perte "lente" avec l'inflation

38% - 94
Chute forte, de 45% en 3-4 ans

7% - 19

#76 22/01/2013 12h28

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Bonjour,

je ne sais pas combien de temps ce sujet va vivre, donc je fais une photo du sondage au 22 Janvier.
* Hausse forte : 5-10% an    => 3%
* Hausse à hauteur de l’inflation => 19%
* Stabilité des prix, mais perte "lente" avec l’inflation => 24%
* Chute de 10-15%, puis perte "lente" avec l’inflation => 41%
* Chute forte, de 45% en 3-4 ans => 11%
Nombre de votants : 132

3/4 des votants pensent que cela va baisser, inflation comprise, sur plusieurs années ; avec une chute plus ou moins rapide.

On réouvre ce sujet dans 5 a,s smile

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[+1]    #77 27/01/2013 13h30

Membre (2012)
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Ci dessous lien vers The econimiste house price ou l’on voit que la bulle immobilière française n’est pas très impressionnante comparée a celle d’autre pays, mais existe..

Location, location, location: Global house prices | The Economist

Ci-dessous un article dans lequel apparait la réalité du marché du haut de gamme : tendance a la baisse enclenchée, je parie que le reste va suivre…

Bulle immobilière - L’immobilier français serait le plus surévalué du monde
Par Fabrice Drouin Ristori - GoldBroker
Publié le 26 janvier 2013
888 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
            ( 7 votes, 5/5 )   

     Article          Commentaires           Notation             

Mots clés associés :   Canada | Chômage | France | Government | Groupe | Hong Kong | Mali | Marché Immobilier | Singapour | Socialiste |






Traduction d’un article d’un article intitulé "The Next Shoe To Drop In France", publié sur testosteronepit.com



Les fondations économiques de la France craquent. Le chômage a atteint 10,5% et est en hausse constante. Le secteur privé agonise. Les ventes d’automobiles ont plongé de 13,9% en 2012, après une mauvaise année 2011. Les ventes de ses propres fabricants d’automobiles ont chuté encore plus : PSA Peugeot Citroën, -16,6%, Groupe Renault, -19,8%. Et maintenant les ventes d’immobilier sont au point mort. Et on cherche des coupables.

Les transactions d’appartements à Paris évalués à plus de 2 millions d’euros (ce qui n’est pas tant que ça à Paris), ont chuté de 42% en 2012.

Barnes, une société immobilière spécialisée dans les propriétés haut-de-gamme en France et dans certains autres endroits huppés, a basé son étude sur des informations glanées auprès des notaires impliqués dans des transactions immobilières. Les prix des maisons haut-de-gamme à Paris ont baissé de 10-15%. Pour les propriétés sous les 2 millions, il y eut 28% de transactions en moins, mais les prix sont restés stables.

L’étude met l’accent sur « la confluence de la crise de l’euro, des élections et de l’impôt ». Des mots durs.

Par « élections », on fait référence évidemment aux événements qui ont élevé le socialiste François Hollande au rang de président de la France et ont donné le contrôle du Parlement au parti socialiste. Par « impôt », on fait référence aux nouvelles taxes multiples qui ont été proposées, débattues et qui ont maintenant force de loi, quoique l’une d’elles, qui proposait un impôt de 75% à la classe très aisée, a été rejeté (une version plus légalement acceptable devrait voir le jour).

Pour les riches, le climat ambiant est devenu hostile, la rhétorique empoisonnée. Alors ils se sauvent en masse, et pas seulement les super-riches (voir un article sur ce sujet : « Trench Warfare » Or « Civil War » Over Confiscatory Taxes in France). Ces circonstances malheureuses (les riches qui s’en vont) « ont incité les vendeurs à accélérer le processus de mise en vente de leurs propriétés, au moment où il y a peu d’acheteurs », déplore le groupe Barnes.

L’optimisme s’essouffle dans la bulle immobilière française. Pour 2013, selon Barnes, le marché devrait demeurer « hésitant » pour le premier trimestre, « avec un faible volume de transactions, qui pourrait graduellement augmenter, d’une certaine façon, avec une « lente correction des prix », plutôt qu’une correction soudaine ou même un crash. D’autres spécialistes de l’industrie entrevoient, quant à eux, des nuages plus sombres à l’horizon.

« Les vendeurs n’ont toujours pas compris qu’ils devaient réduire de façon draconienne les prix demandés, même si les prix à Paris ont déjà baissé de plus de 10% », selon Philippe Chevalier, directeur de Émile Garcin, une autre société immobilière spécialisée dans l’immobilier haut-de-gamme. Il blâme les acheteurs étrangers, ou plutôt la rareté de ceux-là, parce que peu de Français peuvent encore se permettre d’acheter une belle maison dans leur capitale. Le marché est devenu trop dispendieux pour eux. Mais les acheteurs étrangers sont réticents, dit-il, à cause de « l’accumulation de la pression fiscale sur les biens immobiliers ».

Et ce n’est pas seulement à Paris. Dans les provinces, hors des grands arrondissements de Paris, les ventes de maisons existantes au troisième trimestre ont chuté de 20% en un an, une accélération par rapport à la baisse de 16% entrevue au deuxième trimestre (Note de conjoncture immobilière, Janvier 2013). Et les ventes de maisons neuves en France ont plongé de 25% au troisième trimestre, une accélération fulgurante vis-à-vis du déclin de 14% du deuxième trimestre.

Mais encore, les prix en France, au moins au troisième trimestre de l’an dernier, n’ont pas beaucoup baissé, car les vendeurs s’accrochent à l’espoir – espoir illusoire, comme démontré par chaque explosion de bulle immobilière – que cela changera. Et, malgré des taux hypothécaires d’une moyenne de 3,31% en novembre pour un terme moyen de 208 mois, les prêts hypothécaires ont plongé de 32,6% par rapport à l’année précédente.

The Economist a mis le doigt dessus avec une étude internationale des prix de l’immobilier. Cette étude ne visait pas la France en particulier, contrairement à ses autres articles. Mais elle a tapé sur la tête de la France.

L’étude a utilisé deux mesures et les a comparé aux moyennes à partir de 1975 : le ratio prix/location et le ratio prix/revenu disponible par habitant. Elle a conclu que le marché immobilier en France était massivement surévalué : de 50%, selon le ratio prix/location, derrière le Canada (78%), Hong Kong (69%) et Singapour (57%), et de 35%, selon le revenu disponible, tout juste devant le Canada (34%). Ce qui fait de la France le marché immobilier le plus surévalué du monde, par rapport au revenu disponible, et le quatrième plus surévalué, par rapport au prix de location. Un marché immobilier surévalué dans une économie chancelante… bon appétit.

Ainsi, Hollande et le Premier ministre Ayrault sont moins populaires que jamais. Mais cette étude est restée dans l’ombre à cause de la campagne de bombardements au Mali – campagne qui leur vaut une avalanche de commentaires positifs et de support de tous côtés, au moins en France. Ce qui tombe très bien… (Lire : A War to Rescue the French Government’s from its Descent into Unpopularity Hell)



Remerciements à Fabrice Drouin Ristori de fr.goldbroker.com

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#78 30/01/2013 20h54

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Concernant le dernier message, je dirai que Paris n’est pas la France, et concernant le sondage: est ce que tout les votants connaissent le marche Parisien qui est specifique?
Il y a, peu ou pas de constructions neuves, que de la renovation, donc pas d’augmentation de nombre de logements et toujours une demande aussi forte d’acquerir un biens a Paris…. Alors la baisse drastique, c’est pour moi un reve, ceci dit ça me rappelle mon 1er achat en 2000, mes collegues se foutaient de ma gueule car parait il j’achetais au plus haut… j’ai toujours acheté a Paris durant ces 12 dernieres annees malgre la hausse, alors j’espere evidement que la tendance suivra ce sondage (bien que je n’y crois pas) pour acheter davantage !

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#79 30/01/2013 21h53

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Effectivement Paris n’est pas la France et les prix de son marché immobilier sont beaucoup plus excessif dans ses bulles que dans ses corrections que le reste de la France.

Regardez ce article et dites mois comment on ne peut pas en déduire les faits suivants :

http://www.cgedd.fr/auguste-hollande-pr … -paris.pdf

1/ Les prix de l’immobilier à Paris sont sur une tendance haussière sur 800 ans.

2/ Lorsqu’il y a bulle les prix à Paris sont supérieurs au reste de la France, lorsqu’il y a correction la correction est beaucoup plus violente À Paris qu’ailleurs..

3/ Actuellement nous sommes en bulle a paris plus qu’ailleurs et au dessus des cours d’achats moyens, il serai plus optimal d’attendre de revenir sous le prix moyen ou dans l’idéal une correction comme celle qui à eu lieu dans les années 60 pour acheter.

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#80 30/01/2013 22h23

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Un grand philosophe du forum, alias Philippe30, a écrit :

Friggit, laissez le dans son tunnel


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#81 31/01/2013 14h20

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Tao a écrit :

3/ Actuellement nous sommes en bulle a paris plus qu’ailleurs et au dessus des cours d’achats moyens, il serai plus optimal d’attendre de revenir sous le prix moyen ou dans l’idéal une correction comme celle qui à eu lieu dans les années 60 pour acheter.

Oui, enfin, raisonner comme cela revient plus ou moins à attendre une troisième guerre mondiale ou bien une catastrophe qui éradiquerait une partie de la population

Je pense que ces graphiques se focalisent trop sur les facteurs économiques en faisant abstraction de tout le reste. Qu’il y ai eu une grosse baisse un peu après 18 ou 45 n’a vraiment rien de surprenant

Dernière modification par skype (31/01/2013 14h33)

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#82 31/01/2013 14h34

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INTJ

France (donc pas Paris) et pays Européens :
Euro area house prices down by 2.5%

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[+1]    #83 31/01/2013 14h38

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Il n’y a à ma connaissance pas eu de troisième guerre mondiale ou de catastrophe naturelle en 1991… 

Je peux vous ressortir quelques commentaires de l’époque, qui ressemblent étrangement à ce qu’on entend aujourd’hui. C’est drôle comme l’histoire a tendance à se répéter, nous verrons si cette fois la conclusion sera la même ou non!
(je suis tombé sur cet article après une recherche Google, fort intéressant: Immobilier 1991 : Retour sur la crise (du siècle?))

14/11/1989 : La demande de logements neufs restera forte jusqu’au milieu des années 90

16/12/1989 : Deux études de la Chambre des notaires de Paris sur le marché immobilier : Un ralentissement de la hausse des prix des logements anciens est peu probable

16/05/1990 : Une étude de la Chambre des notaires : la hausse du prix moyen des logements à Paris se poursuit inexorablement

19/03/1991 : Le logement locatif reste un investissement rentable à long terme

22/03/1991 : Logements de luxe à Paris De 55 000 à 65 000 francs le mètre carré pour les appartements de la caserne Dupleix et de Passy

23/04/1992 : Le marché est bloqué. Les ventes sont en chute libre, mais les prix ne baissent pas vraiment

Les similitudes sont assez amusantes car on retrouve ces arguments de biens d’exceptions qui continuent à se vendre, ces milliers de riches étrangers qui rêvent d’acheter à Paris, des histoires de prix qui ne peuvent pas baisser, et bien sûr une chute des transactions qui n’est pas vraiment grave car elle n’entrainera pas de baisse des prix.
On connait la suite…

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#84 31/01/2013 15h02

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Les gens qui ont acheté à 65000 francs le m² en 1991, loué depuis avec un crédit couvert par les loyers sont-ils plus ou moins riches que ceux qui n’ont rien fait à votre avis?


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#85 31/01/2013 15h24

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Vous avez raison, tout est possible. En ce qui me concerne je penche pour une correction modérée lié à la conjoncture.

Je voulais juste signaler que le creux dont parler tao (18-60) n’a rien d’étonnant.

Ceci étant, pour information, votre argument s’appuie sur un article d’esprit riche écrit en 2008. Vu la flambée du prix à Paris depuis 2008, même si l’immobilier parisien perd 20-30%, l’auteur aura eu tord…

Dernière modification par skype (31/01/2013 15h27)

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#86 31/01/2013 15h45

Banni
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ZX-6R a écrit :

Les gens qui ont acheté à 65000 francs le m² en 1991, loué depuis avec un crédit couvert par les loyers sont-ils plus ou moins riches que ceux qui n’ont rien fait à votre avis?

Je ne suis pas certain que vu les taux de l’époque et le rendement de l’immobilier beaucoup aient pu réaliser une tele opération

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#87 31/01/2013 15h46

Banni
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En attendant le krach immobilier - Le Point

Un édito bien marrant : tout est dit dedans sur le sujet.

J’aime en particulier la comparaison du président de la Fnaim avec un poissonnier.

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#88 31/01/2013 15h55

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Les bobos aux beaux salaires en ont méthodiquement et impitoyablement chassé les ouvriers et les employés - ce qui, au demeurant, ne les empêche pas de dénoncer volontiers, en sirotant le soir un mojito sur les bords du canal Saint-Martin, la misère et la ghettoïsation des banlieues.

Alors là, dans le cliché méchants riches contre gentils pauvre j’ai pas trouvé mieux. C’est vrai que les riches bobos ont un projet secret d’extermination des pauvres…

Les ouvriers et les employés représentaient 65 % des Parisiens en 1954, seulement 18,5 % en 2009. Et le mouvement s’est encore accéléré avec l’irrésistible ascension du prix du mètre carré observée depuis dix ans : près de 300 %, quand le PIB progressait dans le même temps de seulement 50 %. Résultat : les "cadres et professions intellectuelles supérieures" formaient 21 % de la population parisienne en 1999, plus de 30 % aujourd’hui. La politique de mixité sociale voulue par M. Delanoë a été une franche réussite.

employés 18.5%
cadres 30%
autre ? 50%

Donc les riches méchants cadres ne représentent que 30% des parisiens. En lisant l’article on dirait pas…

Dernière modification par ZX-6R (31/01/2013 15h56)


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#89 01/02/2013 00h14

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Comment comparer des salades avec des tomates…

La situation économique, démographique, sociétale, urbanistique, professionnelle etc…n’a strictement rien avoir avec le siècle passé.

Je penche pour une stabilisation/correction faible (-10% max) sur les grandes villes (j’insiste) qui repartira à la hausse.

Par contre pour les villages ou assimilés (faible centre d’emploi, ville - 200 000 hab etc)… là par contre ça pue le krach ou a tout le moins des négociations de cannibales !

Dernière modification par BorderLine (01/02/2013 00h14)

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#90 01/02/2013 10h28

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Sans compter qu’il s’agit de moyenne. Si, par exemple, le marché du luxe parisien dévisse de 15% et que le reste est stable (ou diminue légèrement), on nous annoncera une baisse importante à Paris.

Ca n’aura aucun impact sur 99% des investissements mais, vous aurez tous les gens qui se plantent depuis 10 ans qui vous diront qu’ils avaient raison. Que c’est surévalué (car friggit, blablabla…). Ça sera aussi malhonnête que la FNAIM qui nous annonce des hausses moyenne à Paris actuellement.

Est ce que si le prix d’un 200 m2 dans le 6ème arrondissement baisse de 15% cela aura une influence sur vos investissements? Je ne crois pas.

Dernière modification par skype (01/02/2013 12h26)

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#91 01/02/2013 11h20

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BorderLine a écrit :

Par contre pour les villages ou assimilés (faible centre d’emploi, ville - 200 000 hab etc)… là par contre ça pue le krach ou a tout le moins des négociations de cannibales !

Bonjour BorderLine,
Ca fait bizarre d’assimiler une ville de moins de 200.000 habitants à un village !
Avec ce "classement", la France ne compterais que 11 villes ;-)

Je pense qu’il faut encore faire une distinction entre les gros villages (entre 50.000 et 200.000 ha) où les prix sont parfois exorbitants et les zones moins peuplées, où les prix restent raisonnables.
Par exemple, chez moi il n’y a pas eu de hausse démesurée ces dernières années. On trouve facilement à se loger pour 1000 € du m2. J’imagine mal un krack dans une telle situation.

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#92 01/02/2013 13h44

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Je mets évidemment de côté les Antibes, les villes proches frontières, enfin tous les cas un peu particuliers.

M’enfin, Lozére, centre, creuse, haut plateau de l’hérault etc etc…les prix ont déjà volé en éclat. Exemple béziers, où  comment avoir un hôtel particulier pour 130.000 euros …

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#93 02/03/2013 11h49

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Effectivement, je ne crois pas à un un fort recul à Paris intra. J’étais aux États-Unis juste avant les subprimes et je m’attendais à un krach en France… beaucoup moins violent que prévu dans mon mémoire lol.

Par contre, j’ai pu observer des baisses de plus de 10% dans des communes du 92, 93 et 95 (secteurs que j’ai étudié) en 2012.. Entre les chiffres publiés par les notaires, les différents réseaux sérieux et les analyses stratégiques, j’ai pu me rendre compte que la grande couronne rentrera dans les clous du sondage car si des grandes communes baissent, la tendance des prix des moyennes et petites commues suivra (sauf exception bourgeoise d’intercommunalité).

Ceci étant sur le marché de la transaction, j’ai pu constater que la droite encadrait déjà les loyers avec les scelliers, bien avant que la gauche ne l’encadre dans l’ancien (sans grand effet à mon goût). Sur les rencontres d’offres et demandes sur le marché de la location, aucun réel impact. Cependant les banques y voient un argument pour réduire les accords de prêts..

Le marché est donc bien à deux vitesses avec un Paris qui reste une pépite européenne (Laurent Vimont, Century 21 1er réseau mondial bénéficiant d’informations internationales).

Au niveau macro, je conçois que le système des dettes européennes et leurs réductions ne puissent contrôler l’inflation !

Dernière modification par Doge84 (02/03/2013 11h59)

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#94 02/03/2013 18h32

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J’adore ce sujet car cela génère des avis contraires et chacun s’exprime de son point de vue en fonction de ce qui est dis dans le médias ou ce que l’on entend.

On continue à lire des commentaires que ça va baisser c’est sûr.

Dès que l’on sent des prémisses de baisses , ça y est c’est la grande baisse - 2 à -3 % dans telle  ville , la suite va être catastrophique.

Si ça ne baisse pas assez  , il ne faut pas désespérer car c’est prévu , l’immobilier va baisser , il s’agit de voir ce qui c’est passé en 90.

Et pourtant depuis 2008 que l’on annonce cette grande baisse , pas grand chose  en vue , des taux d’intérêts bas , eux vont remonter alors l’immobilier va baisser , c’est pas parce que les taux font +0,5 % que l’immobilier va faire -20 %….

D’autres paramètres sociétales font que  les logements manquent , que les gens divorcent
plus , que les familles sont éclatées, que les gens prennent des jobs dans d’autres viles donc on besoin de se loger  etc ….

Aujourd’hui , l’immobilier ne baisse pas parce contre il est plus facile de négocier du fait de la grande peur de la baisse , c’est grande peur de la baisse rend le marché plus fluide car les vendeurs ont peur , les taux sont bas alors que demander de plus ?

Que la psychose continue …..

Philippe


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[+1]    #95 02/03/2013 19h22

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Philippe30 a écrit :

Aujourd’hui , l’immobilier ne baisse pas parce contre il est plus facile de négocier du fait de la grande peur de la baisse ,

Philippe

ne ce serait ce pas contradictoire ?

Sinon j’ai rangé le sujet de l’immobilier dans la même catégorie que la politique, la religion (et le foot)  : trop d’affects pour avoir une discussion raisonnée et factuelle sur le sujet (je ne parle pas du forum)

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#96 02/03/2013 21h50

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Doge84 a écrit :

Au niveau macro, je conçois que le système des dettes européennes et leurs réductions ne puissent contrôler l’inflation !

Que voulez-vous dire exactement?

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#97 03/03/2013 08h33

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Pit a écrit :

Philippe30 a écrit :

Aujourd’hui , l’immobilier ne baisse pas parce contre il est plus facile de négocier du fait de la grande peur de la baisse ,

Philippe

ne ce serait ce pas contradictoire ?

Sinon j’ai rangé le sujet de l’immobilier dans la même catégorie que la politique, la religion (et le foot)  : trop d’affects pour avoir une discussion raisonnée et factuelle sur le sujet (je ne parle pas du forum)

Non , les prix des vendeurs n’ont pas baissé mais par contre lorsqu’il trouve un acheteur , les vendeurs sont plus souples à la négociation sachant que l’on peux baisser de 10 à 15 % , moi même je vend un bien et je l’ai surcoté de 10 % pour me garder une marge de manœuvre et si il part au prix annoncé tant mieux.

Quand je parle de baisse de prix annoncé , c’est dans les médias qui nous annonce par des articles tenant plus du marronnier journalistique que de la vrai information comme quoi l’officiel des notaires à perçu une baisse du nombre de ventes  et une baisse de 1,xx % des prix ….
Quand la bourse perd quelques % ça n’inquiètes personne , c’est un phénomène vivant des cours , l’immobilier peux aussi vivre une période de baisse légère mais arrêtons le crash , l’effondrement etc …

Je suis d’accord pour l’affectif , seul les faits comptent et j’indiquais que depuis 2008 l’effondrement des prix de l’immobilier annoncé n’est pas là et ces petites baissent n’augurent rien ce sont des phénomènes vivant par contre la tendance n’est pas à la hausse. 

Philippe


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#98 06/03/2013 10h16

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@Philippe : Il n’y a pas si longtemps vous écriviez que si jamais les prix baissés, vous ne vendriez pas tout simplement. Aujourd’hui, vous écrivez que vous êtes près à une négociation de l’ordre de 10% pour un de vos bien en vente.

Vous admettrez donc que la mentalité des vendeurs a évolué depuis 1 ans (celle des acheteurs aussi).
A noté également que vous n’avez pas encore vendu le bien que vous avez mi en vente.

Il serait intéressant de savoir le prix de vente (si vous le vendez) lorsque vous l’aurez vendu. C’est le prix de vente qui est important et non le prix d’annonce. Dans une annonce, vous pouvez mettre n’importe quel prix.

J’ai vu, par exemple, une annonce d’un appartement de 13 m2 bien agencé (c’est le moins qu’on puisse souhaiter) dans le 6ème arrondissement pour 280 000 euros. Je ne suis pas sûr qu’il est trouvé preneur à ce prix là.

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#99 06/03/2013 10h25

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Philippe30 a écrit :

moi même je vend un bien et je l’ai surcoté de 10 % pour me garder une marge de manœuvre et si il part au prix annoncé tant mieux.

Bonjour,

Je pensais que quand on voulait vendre un bien immobilier dans un marché en baisse, le surcoter à la vente était le meilleur moyen de ne pas avoir de visites et surtout de ne pas le vendre. Pourquoi le surcotez vous donc si vous souhaitez réellement le vendre ? l’adage serait il faux ?

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#100 06/03/2013 11h22

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Je crois qu’il a répondu dans son post précédent il surcote le prix car les acheteurs négocient plus souvent qu’il y a quelques années afin de retomber sur "son" prix de vente espéré.


Le dire ça fait rire, le faire ça fait taire

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