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#1 10/10/2016 23h21

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Bonjour à tous,
Je vais prochainement acheter une villa avec constitué de : 1 F4 en RP, et 2 locatifs : 1 studio et un f2.
Pour un montant de 630k€.
J’ai par ailleurs 1 autre locatif F2 à 100% et encore un autre à 50% avec un ami, acheté en vente aux enchères.

J’ai 38 ans. Je suis marié avec 2 enfants (3 et 6 ans). Revenus sur 2 têtes environ 90k€

Je me rends compte sur le tard -je suis sous compromis et signe début novembre- que cet achat serait peut-être plus judicieux en montant une SCI familial pour faciliter la transmission un jour à mes enfants.
J’emprunte sur 25 ans.

Je connais très mal les sci. Je connais juste les avantages liés aux parts sociales et don usufruit/nue propriété.
Vu l’urgence, je vais rapidement relire le bouquin que j’ai sur les sci et appeler mon notaire.
Mais si je peux avoir des conseils avisés en parallèle je suis preneur!

Merci d’avance! smile

Edit: J’ajoute qu’a priori sur au moins 1 appartement en locatif de la villa je voudrais faire du meublé (comme mes 2 autres locatifs) et donc que je crois que ca rend impossible tout montage en sci (civil contre BIC). Vu que la villa est en un seul lot je devrais peut-être envisager de diviser la villa en 2 ou 3 lots ?

Dernière modification par Perceval (10/10/2016 23h40)

Mots-clés : immobilier, sci (société civile immobilière), transmission

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[+1]    #2 11/10/2016 13h45

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Il faut scinder les différentes problématiques.

Déjà, location et villa non lotie (non divisée en lots). Ca pose différents problèmes :
- un locataire dont c’est la résidence principale doit avoir son propre compteur électrique "officiel" (= prendre son propre abonnement). Y a-t-il 3 compteurs ? (Idéalement il en faudrait même 4 : 1 pour chaque appartement et un pour les parties communes). En meublé, la même obligation s’applique, mais la possibilité d’appliquer le forfait de charges fait que ça passe mieux, il y a une sorte de tolérance (même si ça reste illégal).
- si vous vendez la maison, vous devez faire une offre de vente au locataire en location nue dont c’est la RP (loi de 1989). Comment lui faire une offre de vente sur son logement si ce n’est pas un lot ? En meublé, même RP, il n’y a pas cette obligation de faire une offre au locataire.

Si la division en 3 appartements est vraiment voulue et durable, vous auriez sans doute intérêt à réaliser la division. Après il y a sans doute plein de gens qui louent un bout de leur villa, ou qui louent des appartements à l’intérieur d’un immeuble non loti, mais ce n’est pas sans poser parfois des problèmes. Et à long terme, de toute façon, ça semble indispensable.

SCI et meublé : c’est possible, mais alors forcément une SCI IS (location meublée = activité principalement civile d’où SCI possible ; mais activité imposée BIC d’où IS).

SCI et transmission : à regarder dans le détail mais je ne suis pas convaincu de la pertinence. Allez-vous, par exemple, payer vous-même un loyer à la SCI pendant toutes ces années ? Les loyers des locataires, allez-vous devoir les laisser dans la SCI IS, et ne vous verser ensuite des dividendes que quand elle sera enfin bénéficiaire, alors qu’il serait si simple, en pleine propriété, d’empocher les loyers et de les déclarer soit en micro-BIC soit au réel (le réel, c’est d’ailleurs un autre argument pour le lotissement : comment déterminer la valeur d’achat de chaque logement sans lotissement ?).

SCI IS et plus-value : en cas de revente ou autre cession, la plus-value sera sur la part amortie de la maison. Si c’est dans 20 ans, la PV sera presque égale à la valeur de la maison. Impôt sur la PV énorme. Encore que cette imposition dépend de savoir si vous payez un loyer ou non à votre propre SCI (cf : Occupation à titre gratuit ou onéreux - Creation SCI ). Avec le lotissement en 3 lots, ça complique encore.

SCI et transmission : ça permet certes de transmettre sans mettre vos enfants dans l’indivision. Mais le lotissement de la maison pourrait résoudre le problème : vous donnez la NP du plus gros appartement à l’un, la NP des deux autres à l’autre, et vous avez transmis la NP comme vous le souhaitiez. Vu votre âge, la valeur de cette donation en NP reste très inférieure aux seuils d’imposition d’une donation parent-enfant.

A mon humble avis, vous avez deux possibilités (non exclusives) qui s’offrent à vous :
- une division qui est obligatoire de toute façon et qui rendrait les choses plus carrées à beaucoup de points de vue : scinder la villa en 3 lots.
- une mise en société (SCI) qui, elle, est optionnelle et apporte beaucoup de complications sans résoudre grand chose…

A voir avec votre notaire…

Dernière modification par Bernard2K (11/10/2016 14h29)


Ce qu'il y a de bien avec les vacances, c'est que ça donne du temps pour travailler.

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#3 12/10/2016 15h40

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J’ajoute un point :
SCI, division, démembrement NP/usufruit : attention aux conséquences pour une revente ultérieure.

Supposons par exemple que dans 20 ans, les enfants sont partis, la maison est trop grande, vos enfants préféreraient avoir des sous pour se lancer dans la vie plutôt que de la NP qui ne rapporte rien : la solution peut-être de revendre la maison et d’en racheter une plus petite.

Supposons autre chose : dans 5 ou 10 ans, gros changement professionnel, vous devez partir. Là aussi, la solution peut être de vendre pour racheter ailleurs.

Suivant ce que vous avez fait en termes de démembrement et/ou division et/ou mise en société, ça ne sera pas aussi facile à revendre (prise de décision, frais de procédures, modalités qui peuvent rebuter des acheteurs, etc.). Ce qui avait semblé une bonne idée NN années plus tôt n’en est peut-être plus une.

Là aussi votre notaire devrait être de bon conseil, en fonction de vos projets de vie et de transmission.

Dernière modification par Bernard2K (12/10/2016 15h50)


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#4 12/10/2016 19h38

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Bernard2K a écrit :

SCI et meublé : c’est possible, mais alors forcément une SCI IS (location meublée = activité principalement civile d’où SCI possible ; mais activité imposée BIC d’où IS).

Je  crois que ce n’est pas tout à fait exact : la SCI peut rester à l’IR si les revenus de location meublée représentent une faible partie (de mémoire : <10%) des recettes de la SCI.

Je suis tout à fait d’accord avec la conclusion de Bernard2K, en ce qui concerne la SCI : pas mal d’inconvénients, pour peu d’avantages (voire aucun, car même à votre succession, il est probable que les héritiers vendront simplement, et plus le montage sera compliqué plus ils en baveront), donc à éviter.


J'écris comme "membre" du forum, sauf mention contraire. (parrain Fortuneo: 12356125)

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#5 12/10/2016 19h53

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C’est exact pour les 10 %. J’avais pensé que la location en meublé, même d’un seul logement, serait supérieure à 10 % des loyers totaux, donc je n’en avais pas parlé.

A mon avis, il faut mettre les deux logements locatifs en meublé, compte tenu du fait que la maison n’est pas lotie et qu’ils n’ont probablement pas de compteurs indépendants.

Un meublé dans une maison (probablement avec jardin) peut être très apprécié par des locataires. Mes parents ont un F3 en meublé dans leur maison. Un F3, ça peut paraître grand pour faire du meublé. Mais ça s’est loué sans discontinuer pendant 20 ans, avec des gens qui restaient plusieurs années à la fois, et qui appréciaient d’avoir un jardin de plain pied ; notamment des propriétaires de chats (eh oui !), mais il appréciaient aussi la pelouse, le salon de jardin devant leur porte-fenêtre, et d’avoir un bout de jardin réservé pour qu’ils fassent leur propre jardinage.

Dernière modification par Bernard2K (12/10/2016 20h13)


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#6 12/10/2016 21h30

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Bonjour,

Merci de vos réponses éclairantes.

La SCI me semble désormais une fausse bonne idée. Beaucoup de contraintes que vous avez soulevées. Pour un gain hypothétique à ce jour pour moi. De surcroît, il faudrait une SCI à l’IS dans mon cas, étant à 100% de loyer en meublé (selon le modèle type : 10 mois étudiants et 2 mois saisonnier). Je serai au réel comme je le suis déjà avec mes 2 locatifs.

Pour l’allotissement je pense que je peux m’en passer sauf si la question que vous posiez ne trouve pas de réponse valable (désolé je n’arrive pas à citer) :
" …le réel, c’est d’ailleurs un autre argument pour le lotissement : comment déterminer la valeur d’achat de chaque logement sans lotissement ? …"
Vous parlez bien de la valeur du bien pour le calcul de l’amortissement ?

Tentative de réponses:
1- je fais un calcul au prorata en fonction des surfaces habitables en partant d’une expertise globale de la villa, après les travaux que je vais effectués. C’est simpliste.
2- expertise d’un agent immobilier des 3 appartements après travaux

Je préfère le 1 que le 2 car effectivement il y a des failles sur l’expertise :
Principalement avec le jardin : avec ou sans, les appartements n’ont pas la même valeur et il n’y a peut-être qu’un règlement de copropriété qui puisse définir son usage. Le jardin c’est crucial effectivement comme vous le disiez. Le F2 était déjà en locatif avec une petite zone du jardin réservé (le studio a été aménagé dans les combles). Je ferai sans doute de même mais l’été je donnerai sans doute accès au reste du jardin et à la piscine que j’envisage de construire. C’est un plus indéniable!

Le 2 me semble utopique et vous ?
Que pensez-vous du 1 ?

Bien à vous,

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#7 13/10/2016 08h06

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Bonjour,

Et j’ajoute à mon précédent message que le problème se présentera pour le calcul de la taxe d’habitation/cotisation foncière des entreprises.

Merci

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#8 13/10/2016 08h48

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Vous parlez bien de la valeur du bien pour le calcul de l’amortissement ?

Oui.

Pour la valeur globale du bien, vous n’avez pas besoin d’une expertise puisque vous venez de l’acheter : la valeur, c’est le prix d’achat.

Quant à la bonne façon de retenir la quote-part de chaque logement pour l’amortissement en vue de l’imposition au réel (ou d’ailleurs pour les taxes que vous évoquez), je ne peux pas vous aider. Et je continue à penser qu’il serait plus "propre" de lotir.

A noter que tant qu’il y a un seul propriétaire, il n’y a pas de raison de faire un règlement de copropriété. Un propriétaire unique peut tout à fait diviser son immeuble sans faire de règlement de copropriété.

Pour l’usage du jardin (ou d’autres parties communes), il suffit d’en convenir à l’oral et de l’écrire dans les baux. C’est le bail qui règle ce à quoi le locataire a droit en contrepartie de son loyer, pas le règlement de copropriété.

Dernière modification par Bernard2K (13/10/2016 09h01)


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#9 15/10/2016 19h21

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Merci Bernard,

Concernant l’allotissement je continue de penser qu’il doit automatiquement associer la rédaction d’un règlement de copropriété. Etes-vous sûr du contraire ? Car qui dit "lots", dit "tantièmes", "parties communes", etc. Et donc un règlement s’impose non ? Sinon quel écrit va décrire les lots, leur répartition et les parties communes ?

Dans mon cas, je ne souhaite pas faire du jardin une stricte partie commune.
Je souhaite plutôt associer une partie de celui-ci au F2 locatif. Une autre -petite- aux parties communes et enfin une dernière -grande- a mon appartement.
A priori je ne vais pas lotir pour l’achat  et je vais contacter mon expert comptable pour aborder le sujet de comment calculer la valeur de chaque bien dans la situation actuelle, sans lots mais avec un prix global et 3 appartements (1 RP et 2 locatifs).
Je vous tiendrai informer et je reste preneur de vos conseils!

Merci de votre aide en tout cas !

Bonsoir,

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#10 16/10/2016 09h03

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Il faut distinguer deux choses :
- l’état descriptif de division (qui décrit les différents lots)
- le règlement de copropriété.

A mon sens, un propriétaire qui veut diviser son immeuble, mais sans intention de le vendre à la découpe dans un avenir proche, doit pouvoir le faire avec seulement l’état descriptif de division. C’est cet état qui fera l’objet de la publicité foncière. Ca serait à confirmer par un notaire.

Concernant le règlement de copropriété, notez bien que dans votre situation, vous ne pouvez établir qu’un projet de règlement de copropriété. Tant qu’il n’y a pas plusieurs propriétaires, il n’y a pas de copropriété ! La loi est très claire à ce sujet. D’ailleurs, dans un immeuble mis en copropriété, lorsqu’un propriétaire rachète tous les lots, la copropriété s’éteint automatiquement.

Tant que vous n’aurez pas revendu un lot, il n’y a pas de copropriété, donc votre document ne sera qu’un projet. Il y a l’obligation de fournir à l’acheteur potentiel d’un lot le projet de règlement de copropriété, mais ça reste un projet tant que la première vente d’un lot à un tiers n’est pas intervenu.

Faut-il établir d’emblée un projet de règlement de copropriété même si on ne prévoit pas de revendre à la découpe avant des années ? Pourquoi pas, tant qu’à faire bosser le notaire et le géomètre-expert, autant qu’ils fassent tout d’un coup, comme ils en ont l’habitude. Le risque étant que, d’ici la revente, le contenu légalement obligatoire du règlement de copropriété ait évolué. Il faudra alors le réviser avant de pouvoir mettre en vente un lot.

Pour ce qui est de répartir les charges, l’état descriptif de division et ce qui est inscrit dans les baux à ce sujet suffisent. De toute façon, on peut se demander en quoi un règlement de copropriété qui n’est qu’un projet pourrait être opposable aux locataires !

A noter au passage : votre studio doit mesurer au moins 14 m² (Carrez) et 33 m3. En effet, "toute division d’immeuble en vue de créer des locaux à usage d’habitation d’une superficie et d’un volume habitables inférieurs respectivement à 14 m2 et à 33 m3" est interdite.

A vrai dire, il est bien plus simple de louer les deux logements en meublés sans diviser la maison. La division ne devient vraiment indispensable que pour revendre à la découpe… même si elle contribue aussi à simplifier les choses d’ici là (par exemple ouverture de compteurs électriques indépendants). Attention aussi au risque que la division peut obliger à la création de places de stationnement (vérifier dans le PLU), ce qui n’est pas un problème s’il y a déjà la possibilité de stationner sur la propriété, mais peut poser problème si ce n’est pas le cas.

Une division est coûteuse. Si la maison "fonctionne" bien comme un ensemble mais qu’il ne vous semble pas envisageable de la revendre à la découpe, ou encore si de toute façon vous comptez la garder longtemps, il n’est sans doute pas pertinent de la diviser.

Au total, je ne prétends pas tout savoir du sujet ni ce qui est le mieux adapté à votre situation et à vos projets. C’est bien pour cela que je disais que ça doit se discuter entre vous et votre notaire.

Je suis intéressé pour connaître la réponse de votre expert-comptable sur la répartition de la valeur de la maison, en vue de procéder à l’amortissement des deux meublés en BIC au réel simplifié.

Je réfléchis moi-même à cette solution d’acheter une maison et d’en louer une partie comme logements meublés.

Dernière modification par Bernard2K (16/10/2016 09h21)


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#11 11/09/2018 15h28

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Bonjour Bernard,

Juste un petit retour que je vous dois après les précieux conseils que vous m’aviez prodigués.
Au sujet de la répartition de la valeur de la maison, contenant ma RP et mes 2 appartements locatifs en meublé:

A ce jour nous avons déclaré nos impôts BIC au réel, en nous appuyant sur le métré de la loi carrez pour le calcul de l’amortissement: le montant d’achat a été ventilé en fonction des surfaces habitables.

J’en suis désolé, cela n’aura que peu de valeur pour chaque membre : en effet cette décision ne m’a pas été recommandé par un expert comptable: j’ai seulement fait au mieux n’ayant pas pris le temps de consulter.

Je reviendrai ici sur ce forum dès que j’aurai eu des retours des impôts ou d’expert comptables.

J’envisage d’ores et déjà si un jour je souhaitais revendre la villa de récupérer l’ensemble du bien en Résidence Principale au moins 6-12 mois avant la vente (durée a vérifier). Ceci afin d’éviter le paiement de taxe sur la plus-value immobilière. J’espère que les amortissements déjà réalisés sur les meublés ne poseront pas de problème à cet égard.

Bien à vous,

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