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Communauté des investisseurs heureux (depuis 2010)

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#1 27/12/2010 17h48

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Il s’agit sans doute seulement d’une impression, mais il semblerait que la plupart des rentiers et aspirants rentiers n’ont pas ou peu d’enfants ou n’aspirent pas spécialement à en avoir.

Alors même que la logique inculquée par la société est de bosser, acheter une maison, avoir des enfants et bosser toute sa vie, il suffit d’observer son entourage ou de traîner sur des forums de monsieur-madame tout le monde ( je dis cela sans condescendance aucune) pour voir à quel point dans ce cycle prédéterminé avoir des petits est une condition indispensable pour "réussir" sa vie.

Est ce que le rentier est calculateur et jouisseur égoïste de la vie au point de ne vouloir s’atteler une charge supplémentaire qui compromettrait ses plans? Payer les couches, les frais médicaux et les études faut avoir un sacré capital derrière pour assumer sa vie de rentier.
Ou bien, les priorités du rentier sont tellement accaparantes et lointaines des schémas classiques des autres qu’il en oublie à se reproduire smile

Mots-clés : rentier et enfant

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[+1]    #2 27/12/2010 17h59

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INTJ

C’est une bonne question.

Peut-être que l’aspirant rentier est souvent "jeune" et pleins de rêves et ne pense donc pas encore (?) aux enfants…

Peut-être que l’aspirant rentier veut devenir rentier pour échapper au monde qui l’entoure et donc a fortiori ne veut pas imposer ce monde à d’éventuels enfants…

Peut-être que l’aspirant rentier est si exigeant avec lui-même qu’il ne se sent pas "prêt" à avoir des enfants…

Peut-être que l’aspirant rentier ne s’est pas marié pour ne pas voir son argent dilapidé, et n’a pas la pression d’une chère (très chère ! ;-) et tendre pour avoir un enfant…

Peut-être enfin que l’aspirant rentier compense avec des petits quadrupèdes à poils… :-)

Et vous Swantonbomb ?

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#3 27/12/2010 18h37

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Lol… je me reconnais en tant qu’aspirant et en même temps peu désireux d’un enfant?

Pourquoi? Je ne sais pas. Peut être que je n’ai pas envie de rentrer dans un schéma où l’on me force à y rentrer. Non à métro, boulot, dodo. Non à une vie de famille avec enfant pour faire bien. Non à ….

Peut être que l’aspirant rentier est anticonformiste?


Jerome du blog capital story

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Favoris 1    #4 27/12/2010 18h54

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Je pense qu’un schéma de vie de rentier possible où je mets en parallèle la vie professionnelle, financière et la vie familiale serait (à quelques années près):

-0->25 ans: faire des études à débouchés // avoir ses expériences relationnelles

-25->35 ans: bosser beaucoup , intelligemment pour amasser un capital conséquent // avoir une compagne pour la vie si possible si vous vous marriez ( un divorce risque de vous mettre sur la paille :-) ) ; sinon pacsez vous

-35->50 ans: mener une vie de rentier ou de travail à mi temps dans le domaine qui vous plaira ou tout autre chose qui vous plaira // profiter de sa vie de rentier, s’occuper au maximum de ses enfants, les voir vraiment grandir, leur transmettre vos valeurs et  être en mesure d’assumer leurs besoins sans en faire des pourri gâtés

-50->60 a: en fonction du capital, travailler peut être davantage pour payer les études de ses enfants et accroître à nouveau son capital pour la deuxième moitié de son existence// assumer ses enfants jusqu’au bout, en leur offrant les études de leur choix. Aider et assister ses parents vieillissants.

-60->120 ans: avoir une activité professionnelle pour le plaisir, toucher sa rente personnelle, sa pension // devenir papi gâteau et faire des croisières :-)

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[+2]    #5 27/12/2010 20h11

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Le projet de vie auquel aspirent la plupart des gens ("monsieur tout le monde") quand on leur pose la question est :

1) trouver un conjoint
2) faire l’acquisition de son lieu de vie (maison, appartement)
3) faire des enfants
4) s’efforcer de rendre tout ce beau monde heureux pour que les enfants, à leur tour, puissent
reproduire ce même schéma …

J’ai refusé le (1) dès que j’ai quitté le cocon familial. J’ai accepté le (2) car j’avais vraiment l’impression de payer un loyer à fonds perdus, et que je comptais rester à Paris quelques dizaines d’années. Le (3) il n’en n’est même pas question, et ce depuis que je sais ce que signifie "faire des enfants".

Une de mes banques a voulu me faire rencontrer un "ingénieur en patrimoine", et j’ai commencé la réunion directement avec un "pour commencer, je vous informe que je ne porte aucun intérêt aux questions de transmission de patrimoine, donc nous n’aborderons pas ce sujet". Ce qui m’a valu quelques yeux écarquillés en face …

J’ai entendu plusieurs fois le terme "anti-conformiste" à mon sujet … :-) Ce n’est pourtant pas mon but, mais j’avoue avoir du mal à comprendre ce que souhaite faire "monsieur tout le monde" de sa vie. Comme je suis quelqu’un qui n’est pas sensible à la pression sociale et bien-pensante, je fais mon propre chemin. L’indépendance financière fait partie de ce chemin car elle permet de supprimer la plupart des sens interdits que je pourrais trouver sur celui-ci.

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#6 27/12/2010 20h24

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J’aime bien ta vision optimiste Swantonbomb!

Arriver à 60 ans avec cette vie bien remplie, et durer en vieux papy rentier jusqu’à 120 ballais! énorme! Ça serait vraiment une très belle vie ça!

Des fois je me pose la même question de la durée mais sous l’angle du célibataire…
40 ans rentier, même modeste (disons 1 smic 1/2 et protégé de l’inflation), propriétaire de son T2 cossu. Supposons ne plus travailler jusqu’à 80 ans, soit la moitié restante de sa vie hors du monde du travail.
120 ans, 2/3 restant de sa vie libre du travail!

Personnellement je cherche en priorité l’indépendance financière, ou du moins une sérénité financière et une liberté face au monde du travail.

Ainsi, même sans être rentier, j’aborderai plus sereinement l’avenir avec des rentes. Je serai du genre à faire une famille seulement à partir d’une certaine stabilité.

La pression sociale est en effet de toute part. Je connais des célibataires qui vantent la valeur "travail", alors que d’autre ne comprennent pas leur célibat, et ont comme cheval de bataillle leur vie de famille.
A un certain niveau, je pense qu’on est en dehors du rationnel et on cherche à se rassurer: c’est comme le débat propriétaire/locataire.
J’espère dans le futur, avoir atteint des objectifs, et pouvoir apprécier le résultat d’une ligne de conduite et d’efforts.
Indépendance d’action et de choix de vie!

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#7 27/12/2010 23h33

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J’ai souvent remarqué, que ceux qui veulent devenir rentier ou indépendant financièrement, avaient fixé comme age symbolique 40 ans.

Moi même c’est ma barrière car arriver à la trentaine et avoir atteint cet objectif c’est une belle performance (peu évident) et il reste ainsi de nombreuses années pour en profiter car on est toujours logiquement en pleine forme.

Et puis je confirme mon premier post, ce style de vie s’apparente souvent comme de l’anticonformisme. Mais peut être de l’égoïsme aussi ….


Jerome du blog capital story

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#8 28/12/2010 19h10

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Pour moi : sérénité financière + enfants + conjoint = que du bonheur !

Il n’est nullement besoin d’être seul pour atteindre l’autonomie financière, et c’est même beaucoup plus facile d’atteindre ce but à deux que tout seul : moins d’impôts, plus de surface financière pour s’endetter, plus de revenus pour préparer l’objectif…

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#9 28/12/2010 19h33

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Oui tout à fait d’accord avec toi Stéphane. Marié depuis un peu plus d’un an, et bientôt un enfant, je constate que non seulement ça m’apporte du bonheur, mais en plus c’est intéressant financièrement et fiscalement. On applique les économies d’échelle pour les dépenses, les revenus cumulés du couple offrent une sacrée assise financière et bien entendu les politiques familiales sont très généreuses.

Je pensais toute comme vous à mes débuts en investissement que l’autonomie financière n’était possible que seul, mais plus je vais de l’avant plus je suis persuadé du contraire. Je pense même que le chemin pour y arriver est plus facile en famille.

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#10 28/12/2010 21h14

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stephane a écrit :

Pour moi : sérénité financière + enfants + conjoint = que du bonheur !

Il n’est nullement besoin d’être seul pour atteindre l’autonomie financière, et c’est même beaucoup plus facile d’atteindre ce but à deux que tout seul : moins d’impôts, plus de surface financière pour s’endetter, plus de revenus pour préparer l’objectif…

+1. Je suis complètement d’accord. Le couple est une satisfaction personnelle (quand on est en harmonie avec sa moité évidemment).

Au niveau constitution de patrimoine, être en couple est pour moi un accélérateur. Il permet  en effet de mutualiser les dépenses, d’augmenter les revenus et d’arriver à l’objectif plus rapidement. Seul, ma capacité d’épargne serait moindre.

Finalement, tout ceci est question de choix de vie et d’aspiration.


Chaque semaine, mon portefeuille analysé sur http://valeuretperformance.posterous.com/

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#11 29/12/2010 11h10

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Je pense quand même qu’avoir des enfants représente, sur un plan strictement financier, un coût plutôt qu’un profit.

Maison plus grande, nécessité d’avoir deux véhicules (nous habitons une région rurale, les déplacements sont longs et les transports publics rares), réduction du temps de travail de mon épouse et frais divers d’éducation : ce ne sont pas les quelques abattements d’impôts qui compensent tout cela.

Personnellement, je n’en avais pas envie avant de rencontrer la femme de ma vie mais, à partir de cette rencontre, c’est réellement devenu un projet à la fois commun et personnel.  Transmettre une éducation et un savoir et "me perpétuer" au travers de mes enfants vaut bien, pour moi, un petit retard dans mon objectif financier.

Mais il me semble important de conserver et respecter le choix personnel de chacun : il faut reconnaître qu’il existe une certaine pression sociale sur les couples sans enfant avec des réflexions incessantes du style "vous, c’est pour quand ?" ou "quand est-ce qu’on sera grand-parent ?"   

Ces pressions sociales sont ridicules car je suis convaincu qu’on ne "décide" pas d’avoir des enfants : on en éprouve le besoin ou non.  Et franchement, si on en éprouve pas le besoin, pourquoi en avoir ?  Pourra-t-on s’impliquer autant qu’il le faut dans l’éducation de notre progéniture, son bien-être et son épanouissment ?


"Il faut être cupide quand les autres sont craintifs, et craintif quand les autres sont cupides." W. Buffett

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#12 29/12/2010 12h04

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Louis Pirson a écrit :

Ces pressions sociales sont ridicules car je suis convaincu qu’on ne "décide" pas d’avoir des enfants : on en éprouve le besoin ou non.  Et franchement, si on en éprouve pas le besoin, pourquoi en avoir ?  Pourra-t-on s’impliquer autant qu’il le faut dans l’éducation de notre progéniture, son bien-être et son épanouissment ?

Je comprends ce que tu veux dire sur cette fameuse pression sociale mais je pense que ça va quand même bien plus loin. La race humaine a vocation naturellement à se reproduire sans forcément chercher une quelconque pression là dedans.

Il n’y a qu’à voir que le taux de natalité est bien plus fort dans les pays sous developpés pour constater qu’au contraire le developpement de la société diminue cette envie de reproduction.

Pour mon cas personnel, je n’en ressentais pas le besoin comme tu dis. J’ai juste décidé (j’emploi volontairement tes mots) d’en avoir un avec ma femme car ça me semblait être le bon moment.

Je n’ai jamais été attiré par les enfants, je crois bien ne jamais en avoir porté un dans les bras avant. Et pourtant c’est clairement la meilleure chose qui me soit arrivée dans le vie et je ne vois pas bien ce qui pourrait passer avant les moments que je vis avec ma fille.

Beaucoup de père ont vécu cette transformation alors qu’ils n’éprouvaient comme tu dis pas le besoin au départ. Ca doit bien vouloir dire quelque chose et ça va au delà d’une soit disant pression smile

Dernière modification par Ulysse (29/12/2010 12h06)

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#13 29/12/2010 14h59

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INTJ

Je suis tout à fait d’accord avec Ulysse, qui exprime là tout à fait mon cas.
J’ai un petit de 10 mois, j’ai 36 ans et jusqu’à présent je n’ai jamais eu envie d’avoir des enfants. Pire que ca, je n’en voulais tout simplement pas, ne serait-ce que pour moi ca représentait une perte de liberté (pas tellement le coût financier), la raison pour laquelle j’ai cherché très jeune la voie pour être un jour indépendant financièrement et je me voyais très bien vivre ainsi ma vie juste à deux, faire des voyages, sortir.
La pression environnante, je confirme, elle est quand même assez légère, si on a un tant soi peu de caractère, ca passe facile. Et puis on avait aussi un animal pour décharger notre trop plein d’affection. Je me voyais bien vivre comme ca tout le temps.
Pour ma part, si j’ai eu un enfant, c’est que ma compagne en voulait un et comme j’ai envie de faire ma vie avec elle, à un moment donné, même si elle m’a laissé beaucoup de temps, y a pas vraiment le choix.
J’ai aussi entendu des réflexions style c’est égoïste de pas vouloir d’enfants et tous ces trucs, foutaise ! Moi je n’en avais pas envie tout simplement et je comprends encore aujourd’hui ceux qui n’en ont pas envie. Je crois que j’aurais pu très bien vivre sans, en étant heureux, si ma femme n’en voulait pas.
Pourtant depuis quelques mois, 2-3 mois peut-être, car au début j’ai assumé mon statut de père sans plus, c’est assez magique l’effet qu’a un petit sur vous. J’ai vécu aussi cette transformation également, pourtant dieu sait que j’étais réfractaire, pareil je n’ai jamais pris un enfant dans mes bras avant, qd j’en voyais un, j’essayais plus de le fuir etc…
Oui je dois avouer qu’il me rend encore plus heureux, je ne sais pas comment expliquer cela à ceux qui n’en veulent pas, car quand j’étais à leur place, je me disais des trucs du style : "oui oui c’est ca, en fait ils font des enfants parce qu’ils pensent ainsi qu’ils vont changer leur vie qui ne leur plait pas, etc…", donc pas la peine de sortir les phrases clichés "tu verras etc…" qui avaient le don de m’énerver à l’époque.

Maintenant pour en revenir au thème principal, la meilleure voie pour être rentier, c’est vivre à deux, on partage pas mal de coûts, et l’un des deux peut prendre des risques dans sa vie professionnelle pour augmenter ses revenus par exemple.
Un enfant coûte cher, très cher, surtout en ce moment pour un parisien avec un bébé comme moi, je pense que je suis à 1000e/mois avec la nourrice etc… ce qui est encore raisonnable en fait. L’apprenti rentier calculera qu’il a ca au minimum sur 3 ans, avec les intérêts composés sur 20 ans, je n’ose imaginer :-) bbbrrrr …..
Mais je n’y pense pas trop en fait, je viens juste en écrivant ce message de me rendre compte de la somme que ca représente.
J’espère juste que la magie va continuer ainsi et que je réussirai à lui faire voir la vie en rose, pour pas que son existence devienne une souffrance dans ce monde de brutes et peut-être que la perte financière sera compensée par une meilleure performance dans mon boulot, une plus grande résistance dans les relations avec les autres grâce à lui et qu’il participera ainsi indirectement à mon but d’être indépendant financièrement.

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#14 29/12/2010 15h35

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ESTP

Oui c’est vrai : relativisons la pression sociale qui me semble similaire à celle pesant sur un "célibataire de longue durée".

Je me joins à vous deux : moi non plus les gosses ne m’intéressaient pas avant d’avoir les miens, ils me mettaient même plutôt mal à l’aise.  Aujourd’hui, je suis à l’aise avec ceux des autres … mais il n’y a toujours que les miens qui m’intéressent. 

Fred, je confirme les 1 000 euros par mois par enfants avant l’âge de 3 ans.  Les miens ont à présent 4 ans (c’est des jumaux) et le coût est fortement retombé (à mon avis, autour des 200 euros par mois en comptant les diverses activités sportives auxquelles ils sont inscrits). 

Mais il paraît qu’à partir de 6 ans, les dépenses repartent à la hausse et ce, de manière exponentielle jusque … ben ça dépend.


"Il faut être cupide quand les autres sont craintifs, et craintif quand les autres sont cupides." W. Buffett

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#15 01/01/2011 20h52

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Bonjour !

C’est quand même bien de devenir tonton et de voir la vie continuer. J’ai vu mon frère devenir un papa attentionné et je crois vraiment que ça transforme de devenir parent.
Je crois aussi que c’est un engagement financier et donc que ça coûte, de plus c’est l’inconnu total.
Après en effet on est dans le domaine des valeurs autre que l’argent, et c’est vrai qu’un foyer chaleureux c’est magique!
Un foyer donne la force d’affronter le monde de sauvage extérieur!
L’idéal sera d’assurer à ses enfants la possibilité de s’en sortir, tant par l’éducation que par la capacité financière.
A mon avis, une fois la famille lancée, faut viser plus un complément de salaire. Ce complément de salaire permettra soit de financer le crédit d’un achat immobilier, soit de prendre le risque de se mettre à son compte pour gagner plus, ou de se payer des vacances, avoir un train de vie plus faste, etc.

Dans tous les cas l’aventure de la famille est mieux engagée avec une gestion réfléchie de l’argent.

Au fait très bonne année 2011 à tous! De l’audace et du succès à la clé!

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#16 15/10/2015 05h47

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Howard, Peter et Susan ont un père qui s’appelle Warren …

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#17 02/11/2015 09h45

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ESTJ

Peut être que l’Aspirant et Rentier refute toute contrainte
et qu’a ces yeux, les enfants peuvent en être une

Peut être que l’Aspirant et Rentier refute toute dépense non core
et qu’a ces yeux,, les enfants peuvent en être une

Peut être que l’Aspirant et Rentier refute toute perte de liberté
et qu’a ces yeux, les enfants peuvent en être une


Vf = Vi . (1+ρ)α. But cash is king !

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#18 02/11/2015 10h27

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Cette discussion n’illustre t’elle pas surtout que le rentier planifie, calcule (?) plus que la moyenne.

Je n’y met pas de connotations négatives car planifier, prévoir c’est peut être être plus responsable, plus mature que l’individu lambda.

On ne peut pas nier qu’avoir des enfants ne nous permet pas particulièrement de gagner en liberté individuelle mais qu’on le veuille ou non, avoir des enfants n’est pas que répondre à une pression sociale, un conformisme particulier, etc… cela reste avant tout "inscrit dans nos gênes" ne serait ce que par ce que cela reste la condition sine qua non indispensable à la survie de toute race animale.

Tout ne se calcule pas, tout le monde ne planifie pas tout et franchement ce n’est pas plus mal.

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#19 02/11/2015 10h28

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INTP

Le désir (ou pas) d’enfant est quelque chose de beaucoup trop profond, presque instinctif/animal pour pouvoir le lier avec une organisation/sytème logique et raisonné (dont l’objectif est la liberté financière).

Notre époque commence peu à peu à permettre  à ceux qui n’ont pas de désir d’enfants, de pouvoir le vivre sans trop subir de critiques de la société environnante (même si du chemin reste à faire, c’est un début), preuve que les libertés continuent de progresser.

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[+1]    #20 10/11/2015 13h37

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Je passe beaucoup (beaucoup) de temps à me former, à réfléchir, à préparer mes investissements et la croissance de mon patrimoine. Je suis donc aspirant rentier.

Et je crois que, dans la vie, je suis assez libre d’un certain nombre de contraintes sociales dont je m’affranchis. Je suis parti à l’étranger en congé sabbatique quand mes collègues potassaient leur thèse, leur année recherche ou leur cour au patron pour obtenir un poste. J’ai trouvé un poste en dehors des sentiers classiques, que beaucoup m’envient, et quand on m’y propose un poste définitif, je fais le choix de l’expatriation… Je ne me considère pas comme (trop) soumis aux carcans sociaux et politiquement corrects.

Néanmoins j’ai une femme et un fils. Je dépense sans compter pour eux, pour nous. Mon enfant a des jouets, va à la piscine, à la gym (je vous raconte pas à quel point c’est bobo!), porte des fringues de marque. Nous avons radicalement changé notre style de vacances de baroudeurs, j’ai dû mettre mon hobby (un tantinet dangereux) entre parenthèses pour quelques années… A l’occasion on va chercher la solution d’un problème sur "aufeminin" ou "supermaman". On compare actuellement les marques de pots….

Et bien je m’en fous. Je suis très heureux comme celà. Les concessions qui m’énervent sont largement compensées par  les petits bonheurs du quotidien. Et être un vrai papa poule qui se fait arnaquer par les vendeuses Orchestra me convient, justement parceque en dehors du sujet précis de ma famille, je suis dur en affaires, je refuse toujours les conventions établies et les assurances pour tout et n’importequoi.

Justement, l’aisance financière me donne la possibilité de ne pas compter quand ça me chante, du moment que je continue en parallèle à faire rouler ma petite boule de neige et à vivre selon mes principes de vie.

PS: Il s’agit de mon témoignage, en aucun cas d’un jugement pour ceux qui pensent différemment.


L’argent est un bon serviteur et un mauvais maître (A. Dumas )

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#21 10/11/2015 13h49

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J’ajouterais qu’il y a un facteur sexe qui rentre en ligne de compte. Les rentiers sur ce forum sont des hommes principalement. Bien qu’il y ait un besoin de reproduction qui se fasse sentir, ce n’est quand même pas au même niveau que pour les femmes car l’horloge tourne pour celle-ci.
Un homme peut se dire qu’il va s’investir dans sa vie pro/patrimonial et avoir des enfants plus tard. A 40-50 ans, un homme peut avoir des enfants. Une femme aussi mais c’est quand même plus rare et les risques d’une grossesse à problème sont très augmentés. Elle est donc "pressée" d’en avoir.

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#22 10/11/2015 14h03

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Mes deux garçons qui m’accueillent le soir quand je rentre du boulot, en courant et en criant "papa!"…

Aucune fortune, aucun dividende, aucun placement n’aura une telle valeur, une telle satisfaction, et une telle joie :-)

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#23 10/11/2015 14h19

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Pour ma part c’est presque l’inverse: c’est depuis que j’ai des enfants et que j’ai la chance de les voir grandir que j’essaie d’être plus rigoureux dans mes finances et mes investissements pour pouvoir les aider plus tard en fonction de mes moyens: par exemple ne pas avoir un crédit auto sur le dos quand ils commencent leur vie active, c’est appréciable je pense.

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#24 10/11/2015 14h23

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Je suis content de voir que je ne suis pas le seul à ne pas vouloir (pour l’instant) d’enfant ! Le pire, c’est de vouloir en avoir par conformisme. Et puis il y a déjà trop de monde sur cette terre.

Bon, le plus dur, c’est de trouver une femme qui s’accorde avec cette vision (car il y a chez elles un besoin physiologique beaucoup plus profond que chez les hommes d’avoir un enfant).

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#25 10/11/2015 15h41

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Kabal a écrit :

pour les femmes car l’horloge tourne pour celle-ci.
(…)
A 40-50 ans, un homme peut avoir des enfants.

On va essayer d’atténuer ces propos qui font un peu cliché…
Biologiquement, vous avez raison.

Cependant l’horloge tourne tout autant pour les hommes.
Un enfant, c’est bien plus que la rencontre entre deux gamètes. C’est surtout 15/20 ans d’éducation et de soins. et quand je vois à 35 ans la fatigue qu’occasionne un très jeune enfant, je n’imagine pas la difficulté du "jeune" papa de 50 ans (et d’être confronté à 60/65 ans à un ado en crise)

Si vous voulez un enfant, ne le remettez pas à plus/trop tard quand même.


La vie d'un pessimiste est pavée de bonnes nouvelles…

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