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[+2]    #1 06/03/2015 14h04

Membre (2012)
Réputation :   111  

ESTJ

Un sujet qui revient régulièrement est le montant cible de notre rente.
1 SMIC, 2 SMIC / mois , 50K€ / an . . .

En complément du post Combien valez vous ? Je propose ce sujet:

Combien faut-il gagner chaque mois pour vivre . .  "décemment" ?

Une étude de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale
Source: Observatoire National de la Pauvreté et de l’Exclusion Sociale
Donne une réponse:
1424 euros pour une personne seule
3284 euros pour un couple avec deux enfants permettent de vivre décemment
dans un logement social

et 3515 dans un logement privé

Qu’en pensez vous ?

Mots-clés : combien, montant, rente


Vf = Vi . (1+ρ)α. But cash is king !

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#2 06/03/2015 14h16

Membre (2011)
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Bonjour

Question à mon sens trop vague…
Quelle sont vos passion et ou souhaitez vous vivre ?
Le poste immobilier sera forcement différents entre une grande aglo/mer/Paris ou la campagne
profonde..

Ensuite qu’aimez vous faire pendant vos loisirs ?
SI vous êtes un excellent bricoleur, un bon jardinier, un bon chasseur
que vous habitez en Dordogne dans une zone non touristique..
Croyez moi que le budget Voiture / Alimentation /Logement est sans commune mesure
avec le budget qu’il me faudrait simplement dans une ville moyenne à 100  kms de Paris sans ces 3 activités…

bien à vous

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#3 06/03/2015 14h18

Membre (2014)
Réputation :   0  

Toujours le même problème… vivre ou?
A Paris le barre est beaucoup plus élevée

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#4 06/03/2015 14h22

Membre (2011)
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J’en pense que ça dépend de plein d’autres paramètres : lieu de vie, état de santé, fiscalité etc… et que le montant "brut de tous les autres paramètres" ne veut pas dire grand chose, n’indique pas en soi si c’est suffisant ou pas, tout dépend de la situation.

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#5 06/03/2015 14h24

Banni
Réputation :   115  

Entierement d’accord avecles intervenants precedent, une étude amenant des conclusions inexploitables car melangeant des choux et des carottes.
Histoire de sourire jaune, quel est le budget annuel de cet observatoire ?

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#6 06/03/2015 14h46

Membre (2014)
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Ricou a écrit :

Combien faut-il gagner chaque mois pour vivre . .  "décemment" ?

La question du lieu change beaucoup la donne, cela a déjà été relevé.
La définition de "vivre décemment" également.

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#7 06/03/2015 15h09

Membre (2012)
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ESTJ

L’étude donne Combien faut-il gagner chaque mois pour vivre . .  "décemment" ?

J’interprète celà comme un Minimum vital

C’est une lapalissade de dire qu’ Paris 16, Cannes
en Defender ou en Méhari
les couts de vie évoluent trés trés vite
(encore que, en Méhari dans le Var, je ne serais pas malheureux wink Fin du Hors Sujet)

Mais Quels sont les facteurs limitants ?
Lieu d’habitation ?
Defender ou mehari ?

ou bien le montant de la rente

En bref, espérer vivre avec une rente de ce montant ou moins. . . relève . . .de l’impossible


Vf = Vi . (1+ρ)α. But cash is king !

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#8 06/03/2015 15h18

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Ricou a écrit :

L’étude donne Combien faut-il gagner chaque mois pour vivre . .  "décemment" ?

J’interprète celà comme un Minimum vital

A moins avis, c’est une erreur d’interpréter comme cela.
Dans notre mode de vie de pays riche, la vie décente est très éloignée du minimum vital.
Exemple basique: mon père, qui a moins de 70 ans, dormait enfant dans une pièce dont les fenêtres gelaient à l’intérieur l’hiver. Ca ne lui a jamais posé de problème mais, à notre époque, ce serait totalement "non - décent".

Cela dit, pour répondre à la question, en particulier pour nous (futur-)rentiers, je pense qu’il faut raisonner hors-logement (et supposer qu’on a un logement adapté à notre situation: pas de F4 pour un célibataire…). Une fois le logement exclu, on arrive à avoir des chiffres peu dépendant du lieu d’habitation (oui, on trouvera toujours des exceptions…)

Le minimum vital une fois qu’on a un logement (et pas de travail), c’est pas grand chose: 400/500€ suffisent en général.
Maintenant, pour vivre décemment (donc, avec un certain confort), 900/1000€ permettent un niveau de vie très raisonnable (c’est environ ce que je dépense, avec un enfant)


La vie d'un pessimiste est pavée de bonnes nouvelles…

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#9 06/03/2015 15h25

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Je suis effaré. Effaré de voir une organisation ou un observatoire payé par l’Etat se poser une question aussi stupide.

Il y a tellement de paramètres à prendre en considération que toute tentative de réponse est vaine.


Parrain pour : American Express, Fortuneo, Binck.

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#10 06/03/2015 15h34

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En plus du lieu, tout dépend de la notion de "vie décente" de chacun. Cette notion est forcément ultra-subjective et dépend de chaque individu.

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#11 06/03/2015 15h44

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Ce rapport est établi sur la base de 2 villes moyennes Tours et Dijon, logiquement pour fournir une moyenne national.
Et puisqu’il s’agit d’une moyenne, il y a des cas au dessus et en dessous, comme Paris et la campagne.
Il en est de même pour le seuil de pauvreté (enfin les seuils).

Les critères pour une participation effective à la vie sociales sont expliqués sommairement dans la synthèse, je n’ai pas trouvé le détail encore, mais ce qui écrit dans la synthèse me semble cohérent.

Les profils traités:
-Célibataire sans enfants
-Familles mono-parentale avec 2 enfants
-Couple avec 2 enfants
-Couple sans enfants
-Couple de retraités
-Retraité seul

Avec des variantes sur le logements:
-social
-privé (je suppose que cette tranche inclus l’achat de RP, mais je n’ai pas vérifié, au pire il suffit de la majorer légèrement)
-pleine propriété pour le retraité (supposé sans crédit)

Autre point, la méthodologie pour fixer le budget de chaque poste de dépense m’a l’air pas mal, par groupes de consensus, les groupes étant constitué des intéressés.

Bref, en prenant ce rapport pour ce qu’il est, une moyenne, ça me semble plutôt bon.

Pour répondre à la question, dans mon cas  1 SMIC plus la RP me suffirait largement, mais pour certaines de mes connaissances c’est très loin d’être suffisant (j’en connais même qui ose se plaindre de leurs fin de mois difficiles auprès de personnes vivant du RSA, mais c’est une autre histoire…).

Dernière modification par widget (06/03/2015 15h54)

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#12 06/03/2015 15h49

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Epargner et investir soigneusement pendant des années pour se construire un patrimoine, arrêter de travailler pour ne vivre que d’une rente qui permet juste de vivre "décemment", c’est un peu une victoire à la Pyrrhus.

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[+1]    #13 06/03/2015 15h51

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Bonjour,

Ce genre d’études a le don de me mettre en rogne, de m’énerver, de me faire péter un plomb…

Le SMIC net étant à moins de 1200€/mois (donc pour une personne seule), comment peut-on payer des gens (fonctionnaires ?) pour justement calculer que pour vivre décemment, une personne seule à besoin de 1424€/mois ?

C’est curieux de se dire que personne ne se demande comment vivent les gens qui n’ont justement pas ces 1424€/mois… Ils sont où les 224€ manquants à la fin du mois pour vivre ?

Bref, c’est une moyenne, a prendre comme une moyenne, un chiffre en l’air qui ne représente absolument rien. Mais ça m’énerve !


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#14 06/03/2015 15h57

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En même temps, on ne connait pas le but de cette étude. Donc bon, la conclusion est certes pas terrible mais sans le but réel, on ne peut pas juger de sa pertinence. Si cela se trouve, le but est bien plus intéressant que ce que laisse voir le sujet initial.

Quant au SMIC à 1200€, je me dis que les 224€ manquants sont comblés par les aides de l’Etat diverse set variées. Donc pas forcément déconnant non plus.

Dernière modification par Kabal (06/03/2015 15h57)

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#15 06/03/2015 16h00

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sanbouddha a écrit :

c’est un peu une victoire à la Pyrrhus.

Ca dépend du caractère de chacun.
Personnellement, une vie remplie de plaisirs simples et non couteux me convient parfaitement. Vivre dans l’opulence n’apporte pas forcément de satisfaction supplémentaire.


La vie d'un pessimiste est pavée de bonnes nouvelles…

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#16 06/03/2015 16h15

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Bonjour à tous,

Pour ma part je trouve que cette question est tout à fait pertinente. J’y ai déjà beaucoup réfléchi, et  je pense que l’on peut utiliser la Pyramide de Maslow.

Les besoins qui ont un cout sont principalement les besoins primaires (physiologique) et secondaires (sécurité). Les autres ont le cout que l’on veut bien leur donner (loisirs, appartenance à un groupe, estime de soi…)

J’ai vécu il y’a moins de 10 ans avec 900€/mois, en colocation, en allant au travail (à 17km de chez moi) en vélo. Et avec une capacité d’épargne!

Evidemment, cela me poserait un problème aujourd’hui, mais j’essaye en permanence de me souvenir de cette situation, cela me permet de trancher entre besoins et envies.

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#17 06/03/2015 16h21

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Bonjour,

L’étude porte sur Dijon et Tours.

En tout petit il est écrit:

Lecture : Le budget de référence d’une personne seule sans enfant et locataire dans le parc social est de       1 424 euros par mois. Pour atteindre ce revenu disponible, elle doit percevoir un revenu d’activité net de 1 548 euros par mois, soit 138 % (35e de TH 88 d’IR)

Le budget n’est donc pas le salaire et j’aurai pu confondre.

J’en pense que cela dois être terrible de vivre pour une personne seule avec le SMIC.

Avec ces 1548 euro vous avez le droit a un beau logement social,une semaine de vacances,une voiture d’occasion,une complémentaire et j’en passe parce qu’il faut vraiment être dans le moule pour rentrer dans toutes les cases.

Je note aussi que la TH est faible,l’éventuelle TF c’est cadeau (je n’ai pas trouvé sa trace)

Bien sur chacun aura sa définition du mot décent mais j’ai envie de poser un chiffre qui serait autour de 1700 euro mensuel sur 12 mois pour les villes citées.Beaucoup moins si la RP est payée.

J’ai cherché le coût du rapport mais j’ai juste trouvé l’appel d’offre.L’étude a pris 3 ans soit a mon avis 3 ans de trop.


La règle n’est pas absolue, mais il semblerait que plus le niveau de scolarité de votre lecteur est élevé, plus ce dernier accorde de l’importance à l’orthographe. Le lecteur aurait tendance à mesurer l’intelligence de son interlocuteur à son mode d’expression. Méconnaître ce réflexe vous exclura.

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#18 06/03/2015 16h38

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Faith a écrit :

sanbouddha a écrit :

c’est un peu une victoire à la Pyrrhus.

Ca dépend du caractère de chacun.
Personnellement, une vie remplie de plaisirs simples et non couteux me convient parfaitement.

Certes. Et vous menez cette vie depuis combien de temps ?

J’en ai vu, de trop jeunes rentiers aspirant à une vie "simple et peu coûteuse", qui sont péniblement revenus sur le marché du travail après quelques années d’une vie "simplement ennuyeuse".

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#19 06/03/2015 17h15

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Je n’ai pas lu l’étude en détail mais je trouve le principe intéressant.

On parle toujours du pourcentage de la population pauvre alors qu’il s’agit juste d’une mesure de l’inégalité. En effet, selon l’insee on est pauvre lorsque l’on gagne moins de 60% du revenu médian.
Aux Etats-Unis, c’est lorsque l’on gagne moins qu’un panier moyen. C’est la démarche retenue ici !

Si vous n’aimez pas cette étude, comment mesureriez vous le taux de pauvreté ?

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#20 06/03/2015 17h34

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Cette étude ne concerne pas le taux de pauvreté mais je cite : évaluer les budgets de référence nécessaires pour une participation effective à la vie sociale. Il prend place dans le cadre de l’élaboration de références communes pour un revenu minimum décent au niveau européen.


La règle n’est pas absolue, mais il semblerait que plus le niveau de scolarité de votre lecteur est élevé, plus ce dernier accorde de l’importance à l’orthographe. Le lecteur aurait tendance à mesurer l’intelligence de son interlocuteur à son mode d’expression. Méconnaître ce réflexe vous exclura.

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[+3]    #21 06/03/2015 17h40

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sanbouddha a écrit :

Faith a écrit :

sanbouddha a écrit :

c’est un peu une victoire à la Pyrrhus.

Ca dépend du caractère de chacun.
Personnellement, une vie remplie de plaisirs simples et non couteux me convient parfaitement.

Certes. Et vous menez cette vie depuis combien de temps ?

J’en ai vu, de trop jeunes rentiers aspirant à une vie "simple et peu coûteuse", qui sont péniblement revenus sur le marché du travail après quelques années d’une vie "simplement ennuyeuse".

Le travail serait une fin en soi ? On serait venu vivre sur terre avec comme finalité le travail ? Le travail ne serait pas un moyen/outil pour parvenir à faire ce qui nous plait vraiment ?
Désolé de ne pas partager cette philosophie du "en dehors du travail qu’est-ce  qu’on s’ennuie, il y a rien à faire d’intéressant ou plaisant dans la vie à part le travail", pour moi je vois la chose plutôt dans l’autre sens : on travaille souvent parce qu’on n’a pas le choix, à faire des choses qui nous ennuient et nous intéressent rarement (le travail) pour réaliser le 1er objectif vital (de quoi vivre) et réaliser les autres objectifs…(rentier pour avoir plus de temps pour ce qui nous plait / intéresse vraiment peut en être un, après sur les objectifs en soi, chacun est libre il me semble).

Dernière modification par zetrader (06/03/2015 17h41)

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#22 06/03/2015 17h56

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Mehdi57 a écrit :

Cette étude ne concerne pas le taux de pauvreté

Il s’agit quand même d’une étude faite par l’observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale.

Le Rapport a écrit :

En même temps que s’est enrichi le débat social et que se sont approfondies les stratégies de lutte contre la pauvreté à l’échelle européenne, l’élargissement du champ des indicateurs
de l’ONPES a ouvert la réflexion sur la dimension relative de l’exclusion sociale, mais aussi
sur ses aspects qualitatifs et non monétaires.
[….]
la pauvreté n’est pas seulement une question de revenu. Être pauvre, c’est aussi être exclu des grandes décisions qui touchent à sa propre vie et ne pas être représenté auprès des instances politiques locales ou nationale

Il s’agit de mesurer la pauvreté sur une autre approche que celle d’un % de la médiane. C’est tout le sujet du rapport ! Evidemment, ils n’ont pas le droit d’utiliser le mot pauvre pour leur mesure car c’est déjà utilisé.

Le mot pauvreté (ou pauvre) est d’ailleurs utilisé 126 fois sur moins de 70 pages.

Dernière modification par Fructif (06/03/2015 17h59)

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#23 06/03/2015 19h14

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Plus que de mesurer la pauvreté d’une manière différente, c’est surtout le fait de prendre en compte "la participation effective à la vie sociale" qui importe.

C’est finalement assez simple lorsque les revenues sont très faible, seul le minimum vitale compte, la conséquence directe est une exclusion progressive de la société.
Si il y a un peu de rab, alors il est possible de s’inscrire à un club de sport, d’acheter des livres, d’aller au cinéma etc…
Plus cette part augmente plus il y a d’interactions sociales, ce qui permet en premier de se sentir mieux, d’avoir l’ambition, et de tisser des liens pro qui servent à avancer.

D’un autre côté le seuil de pauvreté sert à évaluer le minimum nécessaire. Et sur ce point, il y a différentes façon de voir les choses, déjà par le pourcentage du revenu médian (40%, 50%, 60%).

D’un point de vue social il me semble préférable d’éviter au maximum de laisser tomber les gens dans la vrai pauvreté, càd la survie assuré, car arrivé là il est très difficile de remonter. Nous avons en France plusieurs dispositif qui freine le cercle vicieux, mais arrivé à un certains niveau ils ont l’effet inverse, enfin c’est un autre débat.

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#24 06/03/2015 19h52

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zetrader a écrit :

Le travail serait une fin en soi ? […]
Désolé de ne pas partager cette philosophie du "en dehors du travail qu’est-ce  qu’on s’ennuie

Ce n’est pas du tout ce que j’ai dit, vous m’avez mal compris.
Je parlais de personnes trop pressées de pouvoir se déclarer ’rentier’ et qui ont sous-estimé leurs besoins futurs, pensant pouvoir se contenter d’une vie ’simple et peu coûteuse’.

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#25 06/03/2015 21h15

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Prenons le détail pour une personne seule :

Logement           471 (618 si privé)
Transport            297
Alimentation        220
Vie sociale          150
Habillement          69
Equipement        112
Hygiène/beauté   37
Santé                   61
Banque                  7

Total                1424

Participer à la vie sociale ne veut concrètement rien dire.
De plus, énormément de choses sont gratuites (culture, sport, évènements), enfin payées par les impôts des autres.

Il faut bien comprendre que ces gens sont payés pour trouver des pauvres là où il n’y en a pas. Quand ils parlent d’exclusion sociale, ils parlent de collectivisation.

Avec plus de 1400 € en France dans une ville de taille moyenne, on fait mieux que vivre décemment. Et heureusement d’ailleurs, puisque c’est ce que font des millions de Français.

J’ai vécu avec ça à Paris avec un budget logement de moitié ce total… Donc dans la misère et l’exclusion je suppose…

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