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Newsletter de l’IH #276

Vos 5 erreurs de “jeunesse” ?

OBJECTIF DE LA NEWSLETTER DE L’IH

Cette newsletter gratuite partage mes idées et réflexions sur l’investissement dans des actions de sociétés cotées en bourse.

Ponctuellement, d’autres sujets sont abordés, autour de la gestion de patrimoine ou du développement personnel.

Toutes les newsletters envoyées depuis sa création en 2012 sont disponibles ici.


 

6 commentaires

Commentaire
1) Happyfab
19/01/2018
Bonjour Philippe,
Tout d’abord, merci de partager publiquement votre « auto-critique ».
Concernant le point sur les études, je ne peux qu’abonder dans votre sens concernant le BAC+5 et le fait de parler couramment anglais. Là où nos points de vue divergent, c’est au niveau de la nécessité du MBA: ces dernières années les frais de scolarité ont augmenté beaucoup plus rapidement que les salaires proposés rendant l’investissement en argent et en temps non rentable dans la plupart des cas pour un homme (la situation est encore plus mauvaise pour les femmes car moins payées à compétence égale). Je ne peux que prévenir les gens désireux de faire un MBA de commencer par...une étude de rentabilité du diplôme.
Aujourd’hui, grâce aux livres anglo-saxons et aux plates-formes formes éducatives types EDX ou Coursera vous pouvez vous formez en continu et quasi-gratuitement: c’est clairement là où va ma préférence pour un meilleur rendement création de valeur ajoutée sur temps et argent.
Cordialement,
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2) DavidS33
19/01/2018
Bonjour,
Si c'était à refaire, voila ce que je changerais:
1/devenir propriétaire dès la 1ère fiche de paie ! Ce premier achat peut devenir également un premier investissement locatif au bout de quelques années lorsque je décide de déménager pour plus grand.
2/Poursuivre les études jusqu'à BAC+5, je me suis arrêté à Bac+4 alors qu'une année d'étude supplémentaire comportant 6 mois de stage à l'étranger m'aurait ouvert les porte d'une belle carrière à l'international et un diplôme reconnu au niveau européen ce qui n'est pas vraiment le cas d'une maîtrise
3/ Lire des livres de développement personnel et d'éducation financière
4/ Épargner 10% de mes revenus et les investir chaque mois en bourse
Voila pour moi. A la 20 aine mes préocupations étaient très différentes même si l'envie d'être rentier était déjà en moi... cela me paraissait un rêve inaccessible.
Cdt
David
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3) Baptiste
19/01/2018
Bonjour,

Je n'avais jamais vu ce MBA de l'IAE en partenariat avec la Sorbonne.
Savez vous pourquoi il n'apparait sur aucun classement europeen / internationaux ?

Quant aux 2-roues, je suis pas certain de vouloir prendre le risque..
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4) Jef56
19/01/2018
Je partage vos erreurs/conseils qui sont très structurants (la base de la création patrimoniale).
Ne pas acheter sa voiture/moto (se la faire payer par l'employeur) ou sinon l'acheter d'occasion. Ce poste de dépense est énorme et peut être fortement optimisé pour dégager une capacité d'épargne.
Investir le plus tôt possible (et la résidence principale est le plus évident).
Se former le plus haut possible tant qu'on est dans le circuit et que les neurones sont là. Les quelques efforts que l'on ne fait pas jeune, se payent (ou se gagnent) au centuple tout au long de sa carrière, surtout en France.
Se vendre régulièrement et souvent pour progresser plus vite en rémunération et responsabilités. Il n'est jamais trop tard pour le faire!
Parler anglais est une évidence dans le siècle du numérique et de la mondialisation.
Avec certains remords, je pense avoir bien géré la plupart de ces points ce qui explique probablement mon parcours correct à ce jour.

J'ai personnellement eu la chance de parler vite anglais (séjours avec correspondant en Angleterre réguliers, merci papa maman).
Je me suis aussi arrêté au niveau bac+5. Je n'ai jamais vraiment fait d'efforts dans les études je trouve à posteriori. Je n'ai jamais aimé être le meilleur en quoi que ce soit (dommage). Si on ne le fait pas pour les autres, il faut apprendre à le faire pour soi.
J'ai acheté ma résidence principale tardivement (j'ai raté l'achat à Paris en 2001 à cause de quelques détails aujourd'hui sans importance). Je n'ai corrigé le tir qu'en 2007.
A part le premier véhicule offert par les parents (merci encore papa maman, conservé 3 ans), j'ai travaillé en région parisienne (avec métro ou scooter) ou eu l'avantage du véhicule de fonction.
Je suis incapable de changer de poste tous les 3 ans (casanier et réticence/incompétence à me vendre/faire le mercenaire). 10 ans par entreprise, c'est ce que je constate en ce qui me concerne. Au-delà du temps en entreprise car on peut avoir des parcours très variés dans certaines sociétés, c'est le temps dans un métier et aujourd'hui ça fait 11 ans que je fais exactement le même métier et c'est pesant. Par contre il est certainement plus difficile de changer de métier que de changer d'entreprise sauf dans les grosses multinationales. Sauf à faire des choix clivants et en accepter les conséquences (reconversion, création d'entreprise, rentier...)
Ce qui est sûr est que la lecture d'un forum comme IH permet à ceux qui ont la chance de le lire de se sensibiliser à ces vérités à travers le partage d'expériences des membres. C'est pour cela qu'il est très utile.
Commentaire
5) Faguoren
20/01/2018
Intéressante discussion.

De mon coté, ce que j'aurai amélioré:
- Croire beaucoup plus en moi et mes capacités, et viser des top schools au lieu d’écoles de 2nde classe. Ça fait une grosse différence, et pas seulement en début de carrière
- Quand j'ai acheté mon appartement en Chine, j'aurai du acheter beaucoup plus grand.
- Changer de job plus rapidement.

En même temps, si j'avais fait ce que je mentionne au-dessus, j'aurai une vie différente d'aujourd'hui. Que ce soit pro ou perso, ma vie me convient très bien. Donc, aucun regret.
Commentaire
6) Patrick
20/01/2018
Interesante discussion.

Mes erreurs :
Ne pas avoir choisi un métier qui m'intéresse. J'ai pousse jusqu'à bac + 8 en espérant monter et trouver un travail interessant Au final 30 ans d'ennui dans une profession libérale dont je ne partage pas les valeurs.
Ne plus être capable de parler l'anglais.
Ne pas avoir suivi une psychothérapie pour surmonter mes problèmes de jeunesse source de mes échecs professionnel.

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