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Newsletter de l’IH #192

Faut-il imiter (achat/cession) les initiés en bourse ?

OBJECTIF DE LA NEWSLETTER DE L’IH

Cette newsletter gratuite partage mes idées et réflexions sur l’investissement dans des actions de sociétés cotées en bourse.

Ponctuellement, d’autres sujets sont abordés, autour de la gestion de patrimoine ou du développement personnel.

Toutes les newsletters envoyées depuis sa création en 2012 sont disponibles ici.


 

10 commentaires

Commentaire
1) Igorgonzola
19/02/2016
Une question pas si stupide : depuis la création de votre portefeuille, avez vous gagné de l'argent en bourse ?

A combien s'élèvent vos gains en valeur absolue depuis le démarrage en 2009 ?

Avec une valeur de la part autour de 140-145, au bout de plus de 6 ans, et des réinvestissements massifs lorsque la valeur de la part était autour de 150, je commence à m'interroger

De plus, j'ai une valeur de part sensiblement équivalente, au bout de 3 ans et demi. Et mon TRI en base annualisée n'est pas fameux. Le vôtre doit en toute logique être encore plus faible (3%, 4%) ?
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2) Synoxis
19/02/2016
Bonjour,
Le point le plus important me semble absent : parfois ces déclarations représentent une part de la rémunération versée à l'employé de la société, type actions gratuites, octroyées automatiquement à une date ontractuelle. Il n'y a donc dans ce cas pas eu de volonté d'achat de sa part à proprement parler.
Cdt,
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3) Derival
20/02/2016
Je pense que les achats ne sont pas plus significatifs que les ventes. Combien de dirigeants pêchent par excès de confiance dans leur société...

C'est aussi assez humain de prendre des décisions liées au contrôle qu'on pense avoir dessus - bien que peu de dirigeants contrôlent en réalité le cours de bourse de leur société.

Je me demande si le plus pertinent ne serait pas la dérivée plutôt que la fonction. Une société où les dirigeants achetaient régulièrement des actions puis s'arrêtent subitement d'en acheter peut être révélateur de quelque chose. Inversement, s'il n'était pas dans la culture des dirigeants d'acheter des actions sur le marché (ex : ils possèdent déjà 60 % de l'entreprise) et qu'ils se mettent à le faire, c'est intéressant aussi.
Réponse de Philippe
Philippe
20/02/2016
@Igorgonzola

Je ne souhaite pas donner plus de chiffres, l'évolution de la valeur de la part me semble suffisante.

Il est certain que la performance "spot" est très médiocre (la valeur de la part s'est écroulée depuis l'année dernière, comme vous l'avez constaté de vous-même), compte tenues des décotes actuelles attribuées par monsieur le marché à VEREIT et Cominar.

Tant que cela n'est pas de nature à remettre en cause mon mode de vie, cela ne me préoccupe vraiment pas.

@Synoxis

Effectivement, la newsletter ne "s'adressait" qu'aux achats "payés" par les initiés.

@Derival

En effet !
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5) Cafard
20/02/2016
Je pense que la remarque de Igorgonzola souleve 2 points:

- gagner de l'argent est relatif, la part ayant evolue positivement la reponse au sens stricte est oui.

-etre rentier dans la mesure ou les dividendes sont majoritairement reinvestis la reponse est clairement non -si Philippe est rentier ce n est clairement pas grace a ce portefeuille, car les dividendes ont etes reinvestis et ont permis de limiter la perte en capital, ma comprehension est que ce ne sont pas les dividendes qui financent son mode de vie mais sa societe.
Réponse de Philippe
Philippe
20/02/2016
@Cafard

Je n'ai pas dit autre chose :

"Je suis coactionnaire à 50% d’une TPE (cf. supra et infra) dont l’actif principal est un site e-commerce.

Compte tenu d’un environnement très concurrentiel, sa profitabilité est modeste et d’ailleurs pas nécessairement pérenne, néanmoins ses dividendes couvrent actuellement mes besoins quotidiens et me permettent de réinvestir librement ceux du portefeuille d’actions."
Source : Reporting février 2016

Même si j'ai toujours du mal à voire une différence entre être actionnaire d'une société cotée (et toucher des dividendes) ou être actionnaire d'une société non cotée (et toucher des dividendes), dans la mesure où mon activité opérationnelle sur celle-ci est minime.
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7) Derival
23/02/2016
La brigade de la rente est de retour ? :)

Moi-même, je suis plutôt "rentier de l'entreprenariat" que "rentier de l'investissement en bourse". J'ai touché des dividendes et les plus-values de revente d'actions d'une PME, et c'est l'essentiel de mon capital investi.

Mais sans les connaissances en investissement que j'ai acquises progressivement, entre autres en lisant le parcours de Philippe, je serai dans la même situation que d'autres confrères entrepreneurs qui ont confié leur argent à des maisons au noms prestigieux : en train de consommer mon capital grâce à la piètre performance des gérants de ces maisons !

Aux niveaux de patrimoine de Philippe, c'est grâce à des investissements bien choisis et équilibrés, gérés directement avec un minimum de frais qu'il est possible d'être rentier à long terme.
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8) Youplaboum
23/02/2016
Je réagis avec retard mais sur la question de la performance, il me semble que pour se faire une idée objective, il ne faut pas regarder le portefeuille de Philippe, qui s'est écarté de ses propres recommandations, mais le portefeuille passif de Shagrath. Et là, les choses ne se passent pas si mal. Et démontrent la pertinence des conseils de Philippe.
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9) tarentola
24/02/2016
J'ai acheté Devenir Rentier il y a quelques années et je me suis fait un portefeuille d'actions en suivant les principes élucidées dans la Partie 6 du livre.

Peut-être que j'ai raté une information, mais je ne comprends pas ni les critères ni le but de cette sélection hebdomadaire automatisée du newsletter. Est-ce qu'il s'agit simplement des possibilités, des exemples, les actions éligibles selon les critères, ou autre chose ?

Même avec le livre, je ne sais pas comment mettre la sélection en pratique. Peut-être que quelqu'un pourrait m'indiquer où trouver l'information manquante ?
Réponse de Philippe
Philippe
24/02/2016
Bonjour,

Il s'agit de grosses capitalisations avec un rendement sur dividende "correct", une volatilité moindre que le marché et un cours proche du plus bas à 52 semaines.

C'est une liste d'actions qui peut donc être plus "opportuniste" que celle proposée dans le livre, qui était simplement une liste des plus grosses capitalisations boursières mondiales.

Cordialement,

Philippe

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