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Newsletter de l’IH #150

ARCP : exemple de valorisation d’une foncière triple net (2/3)

OBJECTIF DE LA NEWSLETTER DE L’IH

Cette newsletter gratuite partage mes idées et réflexions sur l’investissement dans des actions de sociétés cotées en bourse.

Ponctuellement, d’autres sujets sont abordés, autour de la gestion de patrimoine ou du développement personnel.

Toutes les newsletters envoyées depuis sa création en 2012 sont disponibles ici.


 

10 commentaires

Commentaire
1) Pierre
03/04/2015
Bonjour Philippe,
Je lis votre lettre toutes les semaines mais il y a un point que je ne comprends pas.
Vous ne travaillez plus, donc pour vivre vous prélevez chaque semaine (chaque mois?) une somme sur votre portefeuille. Combien soustrayez vous chaque mois?
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2) Michell
04/04/2015
Bonsoir Philippe,

Séville et Grenade, c'était sûrement très bien, du point de vue climat, ces derniers mois,
mais pour juillet / août je vous conseille des latitudes plus hautes,
à moins d'aimer rôtir ou crever de soif............
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3) Francois
04/04/2015
Ou de descendre sur la cote.
Cependant sur la cote andalouse comme la cote d'azur ils montent les prix pendant l'été ...
Vers huelva c'est moins coté (mais je connais pas)
Réponse de Philippe
Philippe
04/04/2015
@Michell
C'est pour cela que nous nous installerons plutôt à Valencia. :-)
Commentaire
5) Rydell
08/04/2015
Bonsoir Philippe,

En cas d'installation en Espagne, avez-vous réfléchi à la manière dont vous allez gérer vos titres chez Binck ?
En effet d'après les échos que nous avons pu avoir sur le forum, ceux-ci n'acceptent pas de garder les expatriés.

Merci
Réponse de Philippe
Philippe
09/04/2015
Bonjour Rydell,

Je me "fiche" complètement de ce genre de détail. Ça pollue l'esprit pour rien.

Je verrai bien le moment venu.

Bonne journée,

PP
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7) EmSiges
15/04/2015
Pour ce qui est de Binck. J'ai gardé mon statut, pour l'instant, de résident fiscal français tout en vivant en Espagne. Et Binck m'a gentiment ouvert un compte CT et j'ai transféré mon PEA. Sans aucun problème.

Pour ce qui est de changer de courtier la filiale de Boursorama pourra le faire. Il se murmure d'ailleurs qu'il vaut mieux être investi en action en Espagne que salarié (à vérifier avec un fiscaliste).

Pour ce qui est de l'Espagne. Je vous conseille de lire cet article (en anglais) paru aujourd'hui:
http://seekingalpha.com/article/3068576-is-the-crisis-now-history-in-spain?ifp=0

Une très bonne analyse détaillée sur le pays. Egalement une sur les changements politiques à venir (quid de Podemos) à lire si on souhaite faire un investissement immobilier par exemple.

Bonne lecture (23 pages).
Em
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8) Sanbouddha
25/04/2015
@EmStiges : au sujet de la résidence fiscale attention. En Espagne vous êtes résident à partir du moment où vous passez 183 jours de l'année dans le pays. En France il existe aussi cette règle des 183 jours mais ce qui compte avant tout c'est où se trouve le "centre de vos intérêts économiques", définition floue et sujette à interprétation comme seule l'administration françaises sait en produire.

En pratique, si vous vivez en Espagne et que vous avez une activité en France qui génère une partie de vos revenus et que vous vous rendez régulièrement en France pour gérer cette activité (ou que vous pouvez le prétendre), grâce au flou entretenu par la définition ci-dessus vous pouvez effectivement vous considérer résident français.
Si vous n'avez rien en France (au sens "économique") et que vous vivez en Espagne en cas de contrôle ça risque de faire mal. Si le fisc espagnol se rend compte que cette "activité" n'est qu'une coquille vide et/ou ne nécessite pas réellement votre présence régulière sur place, etc. votre statut de non résident (espagnol) peut être remis en cause.
Pour info, les contrôles pour repérer les étrangers vivant en Espagne sans s'être déclaré résident peuvent aller jusqu'au relevé de la consommation d'eau et d'électricité de votre maison ou appartement. S'il est avéré que vous consommez toute l'année alors que vous êtes censé n'être que 183 jours par an maximum, on pourra vous demander des explications.
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9) emSitges
26/04/2015
Effectivement,
Dans mon cas c'est une filiale que j'ai créé en Espagne. Et le fisc espagnol a déjà vérifié la réalité de mon activité française.
De plus j'ai demandé mon rattachement a ma commune de résidence espagnole et je reste 300 jours par an en Espagne (si seulement ça pouvait être plus encore).

Maintenant quand je vois les économies d'impôts que je pourrais faire en Espagne, grâce aux sites que vous avez publié, je me demande si vraiment cela vaut la peine de continuer à déclarer en France.

Mes revenues proviennent principalement d'immeubles, de brevets (fiscalité encore à vérifier) et d'actions et accessoirement de salaires.

Je pense maintenant interroger un fiscaliste français et espagnol pour m'expliquer les tenants et aboutissants des changements que tout cela implique.
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10) Sanbouddha
26/04/2015
Au strict plan financier je ne suis pas sûr que devenir résident espagnol vous fasse économiser beaucoup au niveau fiscal, ce serait même plutôt le contraire. En revanche, vous y gagnez en simplicité. Le système fiscal français est complexe, le système espagnol n'est pas simple non plus, en jonglant avec les deux vous risquez surtout des migraines chroniques.
Je n'ai pas encore franchi le pas de tout transférer en Espagne (épargne, activité pro, etc.) mais je constate que nombre de mes contacts français s'étant expatrié ici ces dernières années ont fini par faire ce choix.

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