PlanèteMembres  |  Mission   xlsAsset xlsAsset
Cherchez dans nos forums :

Communauté des investisseurs heureux (depuis 2010)

Echanges courtois, réfléchis, sans jugement moral, sur l’investissement patrimonial pour devenir rentier, s'enrichir et l’optimisation de patrimoine

Invitation Vous n'êtes pas identifié : inscrivez-vous pour échanger et participer aux discussions de notre communauté !

Flèche Prosper Conseil (partenariat) : optimisation patrimoniale et fiscale sans rétro-commission en cliquant ici.

#1 13/10/2014 03h57

Membre (2014)
Réputation :   9  

Bonjour,

D’ordinaire je fais une recherche sur un thème et je trouves des tas de sujets a lire pour satisfaire ma soif de connaissance.

Cette fois ci je n’ai pas trouver de réponses alors je souhaite bénéficier des lumières des membres.

Ma banque ma récemment proposé une assurance décès invalidités plus complète que celle que j’avais avant pour le même prix, la conseillère m’a dit statistiquement le risque de décès par accident est faible, en gros l’assurance que je payes ne sert a rien…

J’ai donc accepté de signer pour l’offre plus complète, j’ai signalé que depuis l’année dernière j’étais diabétique type 2, elle m’ a dit cela ne posera pas de problèmes…

Mais je viens de recevoir une demande de questionnaire, examen sanguins… de la part de l’assureur ce qui m’a rendu inquiet pour le jour ou je dois demander un crédit immobilier.

Mes recherches sur le net m’ont faits découvrir qu’il existe des associations de diabétiques qui ont négociés des offres spécifiques mais sinon il y a des surprimes…

Quels sont vos expériences en la matière?

merci

Mots-clés : assurance, diabète, risque, surprime


"Ami au prêter, ennemi au rendre"

Hors ligne Hors ligne

 

#2 13/10/2014 07h12

Membre (2012)
Réputation :   9  

Cher moinsvalue,
Il me semble que votre question met la charrue avant les boeufs.
N’est-il pas plus urgent de guérir de ce diabète de type 2 (pas grave mais qui peut le devenir, et assez facile à guérir) plutôt que d’envisager des problèmes futurs d’assurance?
Plus de diabète, plus de problèmes d’assurance.

Sans compter que devenir rentier avec un diabète de type 2 sera assurément moins agréable que devenir rentier tout court.

En jetant un coup d’oeil sur votre avatar, je m’aperçois que vous favorisez l’adaptation psychologique par rapport à une action déterminée (cf. votre citation de l’Hagakure). Je me demande si l’éthique du samouraï est bien compatible avec la survie, et la survie en tant que rentier. Il s’agit d’un code d’honneur du sacrifice!
Votre pseudo, légèrement découragé, semble traduire votre intuition que ça va aller mal au moins pendant un moment.

Veuillez me pardonner si ma réponse vous paraît trop personnelle. J’ai personnellement vaincu le diabète de type 2 et j’aurais bien aimé en sortir plus tôt.
Est-ce le diabète qui parle quand il vous conseille de vous laisser faire? Certainement vous avez encore l’espoir de vous en sortir sinon vous ne chercheriez pas conseil sur un forum optimiste de would be rentiers.
Bonne chance pour tout.

Hors ligne Hors ligne

 

#3 13/10/2014 07h46

Membre (2014)
Réputation :   9  

Bonjour,

Merci d’avoir pris le temps de m’écrire, je ne parles pas du diabète car mon sujet est orienté par rapport aux themes du forum.
Mais pour préciser depuis la déclaration de mon diabète j’ai pris directement conscience de la maladie et j’ai perdu 25kg ce qui a automatiquement fait que je n’ai plus jamais eu d’analyse hors normes et donc une suppression progressive de la majorité des medicaments. Je suis donc pour moi hors de danger …
Ne vous fiez pas a mon pseudo qui est plutot choisi afin de ne pas oublier mon passé, la philosophie japonaise c’est l’anticipation, l’adaptabilité et beaucoup d’autres valeurs qui m’ont aidés a vaincre mes problèmes passés…
En tout cas merci pour ce coté humain souvent absent du forum :)
Pour resumé je m’en suis sorti justement car j’ai un fort caractère, je ne suis pas la pour devenir rentier mais pour apprendre a optimiser ma gestion financière et me créer un capital pour mes vieux jours.


"Ami au prêter, ennemi au rendre"

Hors ligne Hors ligne

 

#4 15/08/2020 17h00

Membre (2020)
Réputation :   4  

Bonjour,

Je rouvre ce fil qui a été ouvert précédemment par un autre membre, mais pour une nouvelle question qui a aussi trait à l’assurance crédit, liée à un problème passé de santé.

Nous sommes actuellement propriétaire de notre résidence principale (crédit en cours).
Nous souhaitons vendre pour racheter plus grand avec un nouveau crédit (+/- 850K€ de crédit).
Nous pouvons en théorie emprunter ce montant, si l’on met de côté l’élément ci-dessous.

Ma femme a eu importante chirurgie cardiaque en 2019, cela fera bientôt 1 an.
La chirurgie était nécessaire et sans rentrer dans le détail de son dossier médical, nous imaginons que cela va faire fuir les banques, du moins même un professionnel de santé nous indique que le médecin conseil de l’assurance crédit, ne cherchera pas à rentrer dans le détails et rejettera probablement automatiquement le dossier ou avec une énorme surprime. La particularité, et c’est pour le mieux, c’est qu’elle est guérie, elle n’est plus malade, elle n’a pas de 100%, et si tout va bien, même si cela est impossible à dire, elle n’aura pas de nouvelle chirurgie. Techniquement parlant, elle n’est pas malade, mais pour la banque, mais à mon avis, ça sera au revient même pour l’assureur, elle est à risque. J’ai connaissance de l’AERAS, mais pas sûr que cela s’applique à elle et dans notre cas.

Hors, je souhaiterai bénéficier de vos conseils avisés pour comprendre comment se préparer au mieux.

Je précise que le point important pour nous est plus de décrocher l’assurance pour avoir le crédit.
Le fait de ne pas couvrir d’éventuels ITT n’est pas mon objectif, et je ne sais même pas si on peut supprimer la couverture décès pour envisager le pire, et obtenir l’assurance.

1. Dans un autre thread (que je ne retrouve plus), je vous vois parler d’un délai de 2 ans suite à un infarctus ou autre. Cela n’est pas son cas, mais faut-il mieux attendre 2 ans la date anniversaire de la chirurgie pour que cela facilite le dossier ?

2. J’ai pensé au nantissement, du moins partiel, pour sa partie à emprunter. Dans l’idéal, je souhaiterai l’éviter, mais si je n’ai pas le choix, nous le ferons. Peut-on souscrire une assurance crédit ultérieurement le temps de trouver le bon assureur (la discussion sera probablement longue) et faire sauter ainsi le nantissement, après coup ?

3. Avez-vous une liste d’assureurs spécialisés dans les personnes dit à risque ?

4. Savez-vous si des assureurs dans d’autres pays sont moins exigeants, j’ai entendu dire que oui, et s’ils acceptent d’assurer un crédit en france ? C’est peut être un marché de niche, mais si ça existe, je suis preneur.

5. Avez-vous des conseils, tout simplement.

Le plus important, c’est qu’elle aille bien maintenant, mais les banques ont tendance à se couvrir au maximum, parfois au-delà du raisonnable, et je souhaiterai savoir comment préparer notre dossier pour être prêt le moment venu, sachant que je souhaite expédier le dossier, le plus rapidement possible, car la concurrence est rude à Paris pour un appartement.

Merci beaucoup de votre aide pour essayer de passer ce cap.

Cordialement,

Dernière modification par Bobinv (15/08/2020 17h49)

Hors ligne Hors ligne

 

#5 15/08/2020 17h34

Membre (2016)
Top 10 Année 2023
Top 20 Année 2022
Top 20 Portefeuille
Top 5 Dvpt perso.
Top 5 Actions/Bourse
Top 20 Monétaire
Top 5 Banque/Fiscalité
Réputation :   1507  

ISTJ

Bonjour,

Ma femme a de nombreux problèmes de santé et nous avons eu à faire à ce problème d’assurance l’an dernier.
Je vous passe son dossier, elle a dû remplir plus de 20 pages de questionnaires médicaux et au moins 50 pages de copies de comptes rendus à fournir, le délire a duré 6 semaines.

1) la banque ne refuse pas un crédit pour raison de santé c’est de la discrimination et sans doute interdit
2) votre interlocuteur c’est l’assureur, l’assureur groupe de la banque ou une déléguée, nous avons délégué direct vu notre dossier.

Courtier Magnolia.fr
Assureur Spheria Vie.

Surprime 120/150% par rapport à mon tarif, et exclusion de toutes les garanties sauf le décès. Malgré cette surprime, le tarif délégué est de -50% sur le tarif de l’assurance groupe de la banque pour une personne vierge niveau santé……..

De toute façon on avait déjà assuré le prêt à 100% sur ma tête, la banque demande du 100%, le 200% c’est de la prévoyance. Le 100% sur une tête, cela dépend aussi de la répartition de vos revenus.

Édit : dossier refusé par AERAS…

Dernière modification par bibike (15/08/2020 18h12)


Parrain InteractiveBrokers Saxo Boursorama ETPL4810 Assurancevie.com ETPL49769 Fortuneo 12470190 Degiro Linxea iGraal RedSFR Magnolia BSDirect

Hors ligne Hors ligne

 

[+1]    #6 15/08/2020 21h34

Membre (2014)
Réputation :   62  

Surprime 120/150% par rapport à mon tarif, et exclusion de toutes les garanties sauf le décès. Malgré cette surprime, le tarif délégué est de -50% sur le tarif de l’assurance groupe de la banque pour une personne vierge niveau santé……..

-50% par rapport au contrat maison avec les garanties standards, ou à garanties comparables (çad en enlevant tout sauf décès)?
car le premier cas n’est pas étonnant du tout, en sinistralité ce qui coûte le plus à l’assureur c’est l’incapacité temporaire et l’incapacité permanente, le décès étant beaucoup plus rare et moins coûteux en gestion, litiges etc.

Pour répondre à Bobinv :
Les assureurs n’ont aucun intérêt à refuser un dossier de but en blanc. Dès que c’est possible ils vont proposer une exclusion de garantie ou une surprime, avec parfois le choix entre les deux.

Si vous gagnez suffisamment bien votre vie et que la banque n’exige une assurance qu’à 100% (sur une seule tête), l’assurance-décès doit être relativisée. Elle est là au profit de la banque, il n’est pas dit qu’elle soit pertinente pour vous réellement. Dès lors qu’elle n’est pas imposée par la banque, elle doit être jugée et jaugée comme ce qu’elle est : une assurance qui coûte X€ par mois et couvre tels et tels risques. Et globalement les assurances de prêt ne sont que des assurances-décès / prévoyances un peu pourries (garanties décorrélées des revenus, marché quasi non concurrentiel, etc.), qu’on essaie d’optimiser parce que les banques nous les imposent.

A votre place je tenterais assurance normale pour vous deux et acceptation de l’exclusion pour madame.

Il est possible que l’assureur ne fixe d’exclusion que pour la garantie incapacité temporaire / invalidité, celle qui est la moins utile quand les gens sont salariés ou mieux cadres (car dans ces cas là les contrats de prévoyance de l’entreprise absorbent quasiment la perte de revenus… ce qui fait que l’assurance du prêt n’intervient pas ou quasiment pas). Le médecin de l’assurance peut en effet estimer que votre épouse n’a pas un risqué augmenté de décès dans les prochaines années mais qu’elle risque d’avoir besoin de soins ou de réinterventions etc.

A ma connaissance, et je peux me tromper, ils peuvent aussi fixer une exclusion sur la garantie décès, mais dans ce cas la banque peut refuser le prêt si elle impose que la personne concernée soit assurée en décès.

Hors ligne Hors ligne

 

#7 15/08/2020 22h24

Membre (2020)
Réputation :   4  

Merci à vous deux, même si je vais devoir bien vous relire pour tout intégré correctement.

Vous faites référence à une couverture à 100% ou 200%, voire de la faire porter sur une seule personne. Je gagne ma vie de manière correcte, et comme vous l’indiquer, dans mon cas, cadre dans un grand groupe avec une prévoyance. A mon sens, je pourrai aisément payer une surprime sur l’assurance si cela était nécessaire. Cependant, une chose n’est pas clair pour moi.

Dans un scénario, où je porte l’assurance à mon compte seulement (soit 100% au lieu des 200%): Faut-il comme dans le cadre du crédit immobilier à la banque que le coût des échéances totales du crédit soit équivalent à 33% de mes revenus pour que l’assurance m’accepte si pour une raison ou une autre ma femme venait à faire défaut ?
En somme, l’assurance va-t-elle faire le même calcul que la banque, ou bien au contraire, elle sera plus ouverte, car n’intervient qu’en cas de défaut ? (Sachant que dans le scénario normal, le crédit sera réparti à 50/50 entre nous deux pour que le dossier passe et une vie plus confortable).
Auquel cas, en effet, je ne pourrai pas suivre pour un tel montant d’échéance mensuel, sauf à puiser dans mon capital. Ce qui reste possible, mais comme évoqué, je souhaite éviter le nantissement si possible, car de ce que j’ai compris, l’assurance se fichera peu ou prou du montant de mes avoirs, s’ils ne sont pas nantis.

Pour répondre à votre point, ma femme est en libérale dans le médical, et a trouvé avec une certaine difficulté une mutuelle/prévoyance, qui l’a pris en charge avant son opération, ce qui ne fut pas une tâche facile à l’époque.

Je ne sais pas si mon propos est clair, mais j’ai l’impression qu’il existe des solutions à vous entendre, du moins je l’espère.

Merci beaucoup pour votre aide,

Dernière modification par Bobinv (15/08/2020 22h35)

Hors ligne Hors ligne

 

#8 21/08/2020 22h03

Membre (2010)
Réputation :   28  

Un petit retour sur mon expérience personnelle qui n’a pas vocation à servir d’exemple mais peut vous orienter vers une autre possibilité en cas de blocage.

Avec ma conjointe nous souhaitions également acheter notre résidence principale à crédit. L’assurance n’est pas officiellement obligatoire mais elle est exigée par tous les organismes prêteurs donc on peut dire qu’elle devient obligatoire de fait. Si j’avais le choix je n’aurais pas pris d’assurance.

Le dossier santé de ma compagne ne permettait pas d’obtenir un taux "normal" et compliquait sérieusement le projet final. Nous avons donc fait le choix de mentir en répondant "non" à toutes les questions du questionnaire santé. A moins de 50 ans la déclaration sur l’honneur suffit donc pas besoin de voir de médecin..

Bien évidemment si elle décède durant le prêt il y aura une enquête qui probablement m’empêchera de bénéficier de l’assurance. Je préfère payer moins cher pour possiblement rien que payer trop cher pour toucher quelque chose dont je n’aurais pas réellement besoin.

Je précise que pour limiter les dégâts l’assurance n’est pas à 100% sur chaque tête mais à 70/30 et je me dis que si c’est moi qui décède l’assureur n’ira sans doute pas chercher un problème sur sa situation de santé et se contentera d’étudier la mienne.

Hors ligne Hors ligne

 

#9 21/08/2020 22h19

Membre (2020)
Réputation :   4  

Bonsoir,

En effet, je ne peux cacher que nous y avons pensé aussi.
Le hic n’étant pas mon âge, mais le montant emprunté. De ce que j’ai compris, au-delà de 300/400K€ (je ne sais pas si ce seuil est véridique, et si c’est 400K€ chacun ou à deux, il y aurait un examen médical obligatoire, peu importe votre âge). En somme, plus la somme serait importante, plus la banque/assurance creuse sérieusement le sujet.
Si c’est bien le cas, rien ne sert de mentir dans notre cas, compte-tenu qu’il lui sera impossible de cacher son intervention. Je ne sais pas si vous confirmer cela ?
Dans mon entourage, dans un cadre pro. un proche a récemment emprunté une somme importante, et à 41 ans, et il a dû passer des examens. Je ne sais pas ce qu’il a répondu au questionnaire, mais le connaissant, je doute qu’il ait insisté sur d’éventuels problèmes…wink, même s’il n’a rien de particulier à ma connaissance.

Dans mon cas, dans le cadre de mon crédit actuel pour un montant conséquent, à l’époque mon courtier était persuadé que j’aurai un examen obligatoire dans un centre dédié, cependant celui-ci n’a jamais eu lieu, même s’il n’y avait rien de particulier, et comme vous le dites, je n’ai eu que le questionnaire au final.

Merci pour votre partage.

Je dois dire que j’hésite un peu à appeler un courtier, et donner le dossier sans avoir toutes les cartes en mains, car si nous disons la vérité, et qu’on aurait pu s’en passer, on est grillé auprès des assureurs.
Certains membres se sont montrés plus rassurants quant à la finalité, je vais donc étudier le dossier plus en détail, avant de se lancer.

Dernière modification par Bobinv (21/08/2020 22h24)

Hors ligne Hors ligne

 

#10 22/08/2020 23h21

Membre (2016)
Réputation :   116  

Suite à mon expérience, vous pouvez vous assurez seul à 100% (et Madame 0% ou voir ci-dessous). En général, la banque accepte si l’assurance proposée ne lui permet pas de souscrire aux conditions standard.

Vous pouvez également assurer Madame à X% pour que le montant assuré soit juste inférieur à 320 000€. Le dossier sera alors en envoyé par l’assureur qui refuse de prendre les risques à un pool d’assureurs (si refus) (étape 3) "l’AERAS". Le dossier sera analysé (prenez en compte que vous en avez au minimum pour 15 jours de plus). Si acceptation, Madame sera assurée pour le DC, et le PTIA aux conditions AERAS.

Si après tout cela, refus de prise en charge AERAS, vous serez à 100% sur votre emprunt (à condition que vous n’avez pas d’exclusion).

Archivez bien tous les documents / questionnaires / examens transmis à l’assureurs. Savoir ce qui a été transmis sera nécessaire si vous devez faire "jouer" cette couverture.

Hors ligne Hors ligne

 

#11 28/10/2022 17h23

Membre (2020)
Réputation :   4  

Si je puis me permettre, après des années d’inquiétude, nous avons pu enfin concrétiser notre projet immobilier, et le risque médical était un problème identifié, et en effet l’assurance de la banque nous a bien posé de gros souci, malgré tout nous avons trouvé un courtier qui a su nous trouver une compagnie d’assurance qui a assuré l’un d’autre nous à 100% la ou la banque refusait et sans exclusion avec un taux très bas. Je peux partager le nom de courtier en MP si vous avez besoin un jour. Chaque situation est unique, mais c’était pour partager.

Hors ligne Hors ligne

 

Flèche Prosper Conseil (partenariat) : optimisation patrimoniale et fiscale sans rétro-commission en cliquant ici.


Pied de page des forums