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#26 15/03/2015 18h54

Membre (2013)
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Le message cité est assez ancien, la loi a évolué et depuis le début d’année la dérogation "taxe parking" n’existe plus.
En conséquence, soit :
1/ la ville accorde un changement de destination et aucun souci
2/ elle ne l’accorde pas et à défaut de faire l’acquisition d’un parking dans un rayon de 300m autour du logement, le changement de destination n’est pas accordé.
Comme mentionné par @Iqce le service urbanisme vous donnera facilement la réponse, un coup de fil suffit souvent.

Si des travaux sont occasionnés par ce changement de destination, il me semble qu’en LMNP (BIC) leur comptabilisation/amortissement ne pose pas de souci. Si ma mémoire est bonne en nu (foncier) pour donner lieu a charge comptabilisable, il faut que les travaux ne soient pas considérés comme un agrandissement. Si un connaisseur peut confirmer…


Par vent fort, même les pintades arrivent à voler

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#27 15/03/2015 20h16

Membre (2012)
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Merci pour les éléments de réponse DDtee.

En effet, en location nue (foncier), les travaux d’agrandissement, de construction ou de reconstruction ne sont pas pris en compte.

A voir s’il est possible de contourner cela en faisant du meublé smile La réponse d’un connaisseur serait en effet la bienvenue.

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#28 28/04/2017 01h59

Membre (2016)
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Bonjour,
Je me pose la même question en ce moment. Je vise un bien ou il y a un changement de destination local pro en habitation ou un permis de construire sera nécessaire pour une partie du bien.
Du coup, je me demandais s’il serait pas judicieux de passer cette partie du bien plutôt en meublée pour avoir les déductions ?

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#29 28/04/2017 07h29

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Je confirme ce que disait DDTee il y a 2 ans :
- en revenus fonciers (location nue), les travaux de transformation d’un local commercial en habitation relèvent de travaux d’agrandissement ou de construction, non éligibles en déduction.
- en meublé, en LMNP au réel simplifié, on peut amortir soit le prix d’achat + les travaux (si la mise en location intervient sur le même exercice fiscal), soit la valeur au moment de la mise en location (à faire expertiser par une agence immobilière) si la mise en location intervient sur un exercice fiscal ultérieur à celui de l’acquisition.
Pour autant, il ne faut pas oublier les contraintes et les frais liés au LMNP au réel : déjà, bien distinguer tous les frais du local loué en meublé du restant de l’immeuble ; ensuite, faire une compta de type entreprise donc coût d’un expert comptable ; déclarations obligatoires (POi etc), et enfin, CFE à payer.

Les autres points à vérifier sont :
- urbanisme : quelles règles prévues dans le document d’urbanisme ? Attention notamment à l’obligation d’avoir 1 stationnement.
- copropriété, le cas échéant : vérifier ce que permet le règlement de copropriété, et s’il nécessite une modification de l’affectation des locaux.
- et si on envisage la location saisonnière, attention aux contraintes pour les communes de taille importante et/ou zone tendue.

Dernière modification par Bernard2K (28/04/2017 07h35)


Les vacances sont finies, au travail !

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#30 17/09/2019 21h23

Membre (2019)
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Bonjour à tous,

Mon compagnon et moi venons de faire une offre d’achat (en attente de la réponse du vendeur…) pour un petit immeuble de rapport à Lille composé de 4 lots :
- 3 lots d’habitation loués meublés (doute sur l’un d’eux)
- 1 local commercial non loué.

Questions liées au local commercial :

Il y a au rez-de-chaussée un local commercial nu composé d’un WC et qui a son propre compteur électrique. Nous aimerions le transformer en habitation ce qui implique un changement de destination à demander à la mairie.

Le vendeur et l’agence immobilière nous ont dit de retirer la clause suspensive comme quoi notre offre d’achat ne tiendrait plus si le local commercial ne pouvait être transformé en habitation (car ceci dépend de la réponse de la mairie et que l’IDR indique être composé de ce bien en tant que local commercial).

1- Devons-nous retirer la clause suspensive ou pas (sachant que le vendeur a d’autres offres et que malgré notre offre au prix, nous ne sommes pas en position de force) ?

2- Si nous enlevons cette clause de notre offre d’achat, pouvons-nous l’inclure à nouveau lors du compromis ?

3- Comment faire pour avoir une réponse de la mairie rapidement (avant de signer le compromis) quant à leur accord sur le changement de destination de ce local en habitation) ?


De plus, nous aimerions faire du Airbnb dans un de ces 4 lots (sous réserve que la mairie nous accorde un changement d’usage). A Lille, en gros, on a le droit de louer un logement en airbnb (si < 60m2) sans avoir besoin d’acheter une surface de compensation si c’est le 1er bien qu’on loue en airbnb. Au bout du 2nd bien à louer en airbnb à lille, il faut forcément acheter une surface de compensation.

4- Vu que de toute façon, nous souhaitons transformer le local commercial en habitation, à votre avis, quelle est la meilleure des stratégies suivantes (a ou b) ?
a)      Louer en Airbnb l’un des 3 lots d’habitation existants (suite au départ du locataire actuel) et dire à la mairie qu’on a transformé x temps auparavant une surface de compensation (= le local commercial du même IDR en habitation). Cela nous permettrait potentiellement de louer un 2nd bien en airbnb (dans cet IDR ou lors d’un futur achat) sans acheter de surface de compensation.
4a- La mairie ne pourrait pas nous rétorquer que cela ne compte pas car le local commercial est dans le même IDR ?

4b) Directement transformer le local commercial en habitation et le louer en airbnb. Pourrait-on faire valoir auprès de la mairie que c’est une « opération blanche » ? J’entends que le local commercial initial n’était pas un lot d’habitation donc le fait de le transformer en lot d’habitation pour le louer en airbnb n’enlève au final pas un logement d’habitation pour une personne cherchant à se loger dans un marché de LLD tendu.
L’inconvénient de la stratégie b est qu’on ne pourrait pas faire d’une pierre deux coups en transformant le local commercial en habitation (notre choix quoi qu’il arrive) et en prétendant que nous l’achetons comme surface de compensation.

5- Avez-vous une idée du coût des travaux pour transformer ce local commercial de 40m2 environ en appartement ? Il faudrait créer une cuisine, une salle de bain, une chambre donc créer les murs intérieurs et refaire la façade de la vitrine en un mur bien isolé avec une fenêtre avec double vitrage et des volets. Le local commercial a déjà son propre compteur électrique et un wc.

Questions liées au statut fiscal :

Nous aimerions créer une SCI à l’IS pour les 3 lots d’habitation déjà loués.
6- Par contre, pouvez-vous nous dire comment être en SCI à l’IS pour le 4ème lot où nous souhaitons faire du Airbnb ? Il semble possible de concilier les deux (malgré le fait que faire du Airbnb est une activité commerciale et non civile), d’autres le font donc nous aimerions le faire tout en respectant la loi. J’imagine que l’astuce doit être dans la rédaction des statuts…

7- En SCI à l’IS, nous aimerions être à 50%-50% associés avec mon compagnon. Si nous empruntons 400 000€ par exemple, sommes-nous chacun « endetté » à hauteur de 200 000€ ou sommes-nous solidaires donc considérés comme chacun endettés à 400 000€ ? Au cas où l’un des deux souhaiterait investir de son côté par la suite, la réponse est importante…

En SCI à l’IS, il faut un gérant (qui peut être l’un des associés ou un salarié mais cette option est exclue car cela reviendrait trop cher). Le nom du gérant est donc relié à la SCI à l’IS (donc finalement, si le gérant est un des associés de la SCI, pour les banques c’est un peu comme si le gérant avait déjà emprunté en nom propre vu que la banque est au courant « qu’il a la dette de la SCI »).
8- Comment procéder pour la gérance dans notre cas ?
9- Devons-nous être gérant à 50-50 ?
10- Si tel est le cas, en cas de futur emprunt en nom propre de l’un d’entre nous, la banque considéra t’elle que chacun a déjà un crédit de 200 000€ ou de 400 000€ (cas ou l’emprunt total pour la SCI serait de 400 000€ donc 200 000€ à rembourser par chacun) ?


11- Combien coutent la rédaction des statuts d’une SCI à l’IS et les frais de fonctionnement par an (environ) ?

12- Au cas où il ne serait vraiment pas possible d’exploiter le 4ème lot en airbnb en SCI à l’IS, quelle autre option fiscale s’offre à nous ? Nous pensions au LMNP ou LMP (selon le chiffre d’affaires) en indivision (mais l’indivision ne nous tente pas vraiment) …

13- Si nous achetons l’IDR en SCI à l’IS pour 3 lots et en LM(N)P en indivision pour le 4ème lot, est-ce cela nous obligerait à créer une copropriété dans l’IDR ou cela n’a rien à voir ?

14- Dans le futur, nous créerons peut-être une autre SCI à l’IS pour en avoir 2 et créer une holding (pratique pour limiter la taxe sur les dividendes). Est-ce que cela implique des choses à bien écrire dans les statuts de la SCI à l’IS ou pas encore ?

Questions liées à la résiliation d’un bail :

L’un des lots est loué par un couple possédant 6 petits chiens dans un 35m2. Ils ne sont pas très sociables, boivent, fument beaucoup. Ce ne sont donc pas des locataires rassurants pour nous. De plus, le bien est loué à un loyer en-deçà du marché. Nous aimerions donc résilier leur bail pour faire des travaux dans le logement et le louer avec un loyer au prix du marché. Le vendeur et l’agence immobilière nous ont dit qu’il n’y aurait aucun problème pour résilier le bail si nous faisions des travaux pour un montant supérieur à un an de loyer.
15- Savez-vous si cela est vrai et pouvez-vous nous donner le texte de loi le prouvant ? En effet, nous n’avons rien trouvé sur le net à ce sujet.
16- Sinon, quels sont les autres moyens légaux de faire partir ces locataires ?
17- Comment rédiger cette clause dans le compromis ?


Autres questions :

18- Pour investir à Lille (ou dans une ville de Province), est-il préférable de choisir un notaire dans notre région d’habitation ou sur place ? Un notaire sur place a du réseau sur place, connait mieux l’urbanisme de la ville normalement. D’un autre côté, si on investit dans d’autres villes après, on ne va pas prendre un notaire par ville.

Nous cherchons des contacts professionnels sérieux à Lille pour les professions suivantes :
- notaire (sur Lille ou Paris)
- entreprise tout corps d’état (sur Lille)
- expert fiscaliste (sur Lille ou Paris)
- comptable (sur Lille ou Paris)
19- Si vous pouvez nous conseiller des professionnels sérieux, nous vous en remercions.

Je vous remercie pour la lecture de toutes ces questions. N’hésitez pas à répondre en couleur directement sur mon message à la suite des questions en gras dont vous êtes surs de la réponse.

Cordialement

Vanessa

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[+1]    #31 17/09/2019 21h44

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ENTJ

Bonjour,

Voilà un post très dense ou une question reviens sous plusieurs points en fait.
Points évoqués supra avec une recherche pour détailler si besoin.

Concernant le local d’habitation, vous faites fausse route dans vos raisonnements.
Si vous enlevez la clause suspensive vous perdez le délai de rétractation ! Cela n’est pas correct si vous n’avez pas été informé. Cela sent le pigeonnage…?

Ensuite du coté Mairie, le fait de refuser le changement de destination n’est pas un "fait du prince". Cela répond d’abord à une volonté de préserver le commerce.
Pour cela le document d’urbanisme, accessible en général en ligne ou en Mairie sur simple demande, identifie OU NON ce commerce comme étant à préserver. S’il n’est identifié ni sur le règlement écrit de zone ni sur le plan, cela devrait être possible dans un monde normal (dans le Sud entre autre le "fait du prince existe" pour ce que j’en sais hélas).
Vous pouvez faire une demande de changement de destination ; mais cela prendra quelques semaines…Mais vous serez sur.
Mon avis pour le 2 et 3)  : mettez votre notaire dans le coup c’est lui qui assumera si cela coince.
5) difficile de répondre mais l’ordre de grandeur en faisant tout faire (?) 30 K€.
NB : je suis dans l’urbanisme depuis quelques temps ; mais je ne sais pas exactement  ce qu’est un IDR svp. (Immeuble De Rapport ? Un immeuble normal en fait ?).


Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*

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[+1]    #32 17/09/2019 22h31

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Panda vous dites : "A Lille, en gros, on a le droit de louer un logement en airbnb (si < 60m2) sans avoir besoin d’acheter une surface de compensation si c’est le 1er bien qu’on loue en airbnb"
Vous oubliez que vous serez limité en nombre de jours par an puisque ce n’est pas votre résidence principale. La ville de Lille est de plus en plus sévère et fait la chasse aux Airbnb donc votre projet me semble hasardeux… Il comporte plusieurs points dont vous ne maîtrisez pas les tenants et aboutissants. Et ce n’est pas une question de prix.
Est ce que votre affaire est rentable si vous restez en local commercial et 3 appartements. Comme c’est le cas aujourd’hui ?
Si oui alors pas de problème
Si non j’imposerai une clause suspensive au vendeur quitte à passer à côté.
Une bonne affaire est parfois celle qu’on a pas acheté !

Questions liées à la résiliation d’un bail :

C’est absolument faux. Vous avez l’obligation de reloger vos locataires si vous souhaitez effectuer des travaux donc non seulement vous allez devoir leur payer un autre logement temporairement mais ensuite les réintégrer. Votre agent immobilier cherche à vendre et toucher sa commission il ne connait absolument pas les lois liées à l’habitat…
Vous pouvez mettre fin au bail pour défaut d’assurance ou impayé ou pour reprise des lieux pour vous même ou ascendant descendant.
La meilleure solution c’est de proposer à ces locataires une indemnité de départ en echange de leur lettre de préavis.

Dernière modification par Stephanejudd (17/09/2019 22h40)


ENFJ "le protagoniste" Code Parrainage : AssuranceVie.com : STLE99829 - Epargnoo : STLE7384 - Fortuneo 12587490 - Trade Republic : 93qrbs0n (avec reversement de 50% de ma prime)

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[+1]    #33 18/09/2019 08h18

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ISTJ

Panda2019 a écrit :

1- Devons-nous retirer la clause suspensive ou pas (sachant que le vendeur a d’autres offres et que malgré notre offre au prix, nous ne sommes pas en position de force) ?

2- Si nous enlevons cette clause de notre offre d’achat, pouvons-nous l’inclure à nouveau lors du compromis ?

Si pour vous c’est une condition importante, ne la retirez pas. Vous pouvez toujours tenter de la ré-insérer au moment de la négociation du compromis, mais pourquoi est-ce que le vendeur accepterait à ce moment là et pas maintenant ?

Panda2019 a écrit :

15- Savez-vous si cela est vrai et pouvez-vous nous donner le texte de loi le prouvant ? En effet, nous n’avons rien trouvé sur le net à ce sujet.
16- Sinon, quels sont les autres moyens légaux de faire partir ces locataires ?
17- Comment rédiger cette clause dans le compromis ?

Non, c’est complètement faux. Il n’y a pas de moyen légal de les faire partir avant la fin de leur bail, sauf pour le propriétaire à négocier la remise du préavis en échange d’un billet.
Vous pouvez demander à insérer une clause que le bien est vendu vide, et que les locataires ont effectivement déménagé. La rédaction sera à voir avec votre notaire. Mais le vendeur a de fortes chances de ne pas pouvoir les faire partir, n’ayant pas vraiment de moyen légal pour cela.

Vu vos questions je pense que vous devriez vous documenter un peu plus avant de vous lancer dans l’achat d’un immeuble entier.

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#34 18/09/2019 09h55

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Je suis en cours d’achat pour un local professionnel (j’ai toujours un peu de mal avec quelle est la différence entre un local commercial hormis le fait d’y vendre ou non des produits). Je souhaite l’exploiter en location saisonnière et je vais de ce fait demander un changement d’usage (et non de destination) pour l’exploiter en para-hotellerie (il faut pouvoir proposer 3 services sur les 4 demandés, de mémoire : accueil physique, petit déjeuner, fourniture des draps et possibilité de changer les draps en cours de séjour).

Le PLU de ma ville l’autorise et je me protège en + contre un éventuel changement de législation concernant la location saisonnière dans des locaux d’habitation.


Le piment c'est comme l'autoroute, on paye à la sortie XD

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#35 15/01/2020 17h41

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Bonjour, je tente ma chance ici car dans l’autre section je n’ ai pour l’ instant eu aucun conseil et retour.

Je suis en train d’acquerir un tènement immobilier utilisé anciennement a but commercial.
J’aurai voulu savoir si des personnes ont déjà eu affaire a cette situation, le batiment n’ etant a la base pas de l’ habitation pourrais- je le rehabilité en me fesant aider par l’anah?

Si oui, certain ont t’il tenté de créer une socièté qui se chargait elle même de faire les travaux via l’anah? Dans le but de réduire au maximum le cout de la main d’oeuvre pour la réhabilitation?

Connaisseriez vous divers subventions pour réhabiliter en certification BBC ou HQE( Haute Qualité Environement), j’aimerai dans l’idéal rehabiliter le bien en BBC moderne avec beaucoup de verdure mais le cout sans subventions serait bien trop élevé..

Bonne après midi a tous.

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#36 15/01/2020 18h13

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ENTJ

Bonjour,

Mais avez vous vérifié que le document d’urbanisme autorisait le changement de destination ? Pas de copropriété et de règlement à respecter ?


Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*

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#37 15/01/2020 18h26

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Bonsoir, pas de copropriété, le PLU est dans la main du maitre d’oeuvre. J’avoue ne pas l’avoir lu, mais j’ai en amont été voir le maire de la ville 2 fois pour lui parler de mon projet. Il connait le bien immobilier en question car il a travailler assez longtemps avec une socièté de logement social pour la reprise du bien en question, celle ci s’est désistée par la suite. Je pense que le maire m’aurait informé si impossibilité de changement de destination mais merci du conseil, je vais tout de même me reprocurer le PLU et le lire.

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#38 15/01/2020 21h32

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ENTJ

Vérifiez également que le dit PLU n’est pas en phase de révision, si c’est le cas demander à quel stade il en est et on en reparle.


Tant que t'as pas vendu t'as pas gagné. Mais t'as pas perdu. Mais t'as pas gagné. Mais…Oh zut fait @*

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#39 15/01/2020 23h49

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Ça marche, je vai me renseigner sur tout cela le plus tôt possible.
Il y a t’il autre chose que je devrais verifier en phase de pré-achat?

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